Un contrat à double sens
, l'atmosphère du domaine semblait déjà changée. Adrien était plus silencieux que d'habitude, et même les domestiques semblaient marcher sur
mment dans un fauteuil, semblait à la fois attentif et distant, comme s'il n'était pas certain de ce qu'il devait penser de s
emps. Adrien et moi parlions de l'atelier et de ce que nous pourrions faire pour
u'elle détectât immédiatement l
trop t'impliquer dans ce genre de choses, répondit-elle a
référant s'approcher d'Adri
ace, Adrien. Je suis sûre que vo
ère dont Clara posa brièvement sa main sur son épaule, un geste qui semblait presque calculé pour év
-
'atelier, Clara fit une apparition inattendue. Elle portait une robe él
aide, dit Clara en regardant
de masquer son incrédulité. Je ne sava
, comme si l'idée m
u as une vision unique, Viviane. Et je pense que, si on travaille ensemble,
de Clara sonnait faux, mais elle ne vo
ndit-elle prudemment. Mais pourquoi
paules avec une no
r que je ne suis pas ton ennemie. Après tout,
. Au fond d'elle, elle savait que Clara jouait un double je
-
Clara au loin, en grande conversation avec quelqu'un. Elle reconnut rapidement Eléa, son élégance froide et distante t
lleure solution ? demanda Cla
rien finira par réaliser qu'elle n'est pas à sa place. Mais no
rit do
oit, devrait suffire à semer le doute. Adrien déteste qu'on lui mente, et
recula lentement, prenant soin de ne pas faire de bruit, et retourna à l'intérieur du manoir, son esprit en ébullition
-
aumont. Elles riaient et échangeaient des anecdotes comme si elles étaient les meilleures amies du mo
t lut le contenu avec horreur. La lettre, écrite à la main, prétendait être un message d'un certain « Julien », qui se disait être l'amant secret de Vivia
mais comment pouvait-elle prouver qu'il s'agissait d'un faux ? Et pire encore, que ferait Adrien s'il tombait su
ouvée dans sa chambre tournait en boucle dans son esprit. Elle n'avait pas osé en parler à Adrien, craignant que ce
e vestibule, tenant la lettre entre ses doigts. Ses traits étaient tendus, e
il d'une voix tranchante en a
nt un battement. Elle inspira profo
le en croisant ses bras. Je ne sais pas d
il, un rictus amer
ouvée dans tes affaires ? T
vague de frustrat
r, Adrien ! Tu crois vraiment que j'aura
Viviane, répondit-il sèchement
ndre, mais aucun son ne sortit. Adrien tourna les talons et quitta la pièce
-
ui régnait dans la maison. Viviane passa des heures dans l'atelier, prétendant travailler, mais son esprit était ailleurs. Elle sava
léa dans le jardin. C'était évident que Clara avait un rôle à jouer dans
les affaires de Clara dans sa chambre. Elle n'y trouva rien d'évident, mais la méticulosité avec laque
t des voix provenant du salon. Elle se faufila
ordu à l'hameçon ? dem
Clara en ricanant. Il déteste les mensonges, et cette le
ngs, réprimant l'envie d'entrer et de confronter les deux femmes sur-le