Le Milliardaire destiné à m'aimer

pit

semblait danser à la lumière. Elle l'avait ramassé en rentrant, intriguée. Elle savait, avant même de l'ouvrir, qu'il venait de Kaden. Il n'y avait auc

vénement privé. Aucune mention de ce que ce serait, aucun détail sur ce qu'elle était censée porter ou ce

xe. Mais il avait vu le mouvement, le papier noir qui dépassait de sa ma

t-elle répondu, d'un ton

r quo

la carte, espérant qu'il n'y verrait rien de suspect. Mais

ent de

à ses propres oreilles, sa voix sonnait faux. Li

ux y al

utre part, plus profonde, plus obscure, voulait savoir. Qu'est-ce que Kaden cherchait ? Pourquoi lui avait-il

? Si ça ne te dérange pas. » Elle avait vu l'ombre d'un doute passer dans les yeux de Lia

is assez soignée pour ne pas sembler déplacée. Liam, lui, était fidèle à lui-même, rassurant dans s

garé la voiture à l'extérieur et étaient entrés à pied, les bruits de leurs pas résonnant dans l'obscurité. Olivia avait senti son cœur s'accélé

ou influents, mais comme s'ils appartenaient à un autre monde. Leurs regards étaient intenses, leurs mouvements fluides, presque trop parfaits. Olivia sentait le poids de

s'orienter qu'une voix s'était él

egard avait immédiatement capté le sien, comme un fil invisible qui les reliait. Liam, à

avait demandé Olivia, tenta

rant complètement la présence de Liam.

pour s'interposer. « C'est quoi ce truc

ureux. « Quelque chose comme ça. Mais je pense que tu n

is elle n'arrivait pas à se concentrer sur lui. Toute son attention était fixée sur Kaden

, tendant une main vers elle. « J

art, » avait coupé L

lui, qu'il était celui qu'elle avait choisi. Mais ses jambes semblaient avoir une volonté

-elle murmuré à Liam,

gards. Là, l'atmosphère était différente, plus intime. Il s'était tourn

es questions, n

protéger. « Je ne sais pas ce que je fais

e qu'il soit si près qu'elle pouvait sentir son souffle. « Il y a des choses que tu i

on influence. « Je ne te crois pas. Tu dis ça po

uré. « Je dis ça parce

é passer sur son visage, un éclat étrange dans ses yeux. Ce n'était pas huma

es ? » avait-elle c

son sourire était triste. « Tu le dé

t vu que quelque chose n'allait pas. « Qu'est-ce qu'il t'a dit ?

ts, elle savait qu'ils sonnaient faux. Parce que quelque chose avait c