Le Milliardaire destiné à m'aimer

pit

incontrôlables. Elle avait à peine sept ans, mais la scène était restée gravée dans sa mémoire : la voiture qui dérapait, l'impact, les cris étouffés, puis... plus rien. Le néant. Ses parents, disparus en un instant, et elle, laissée là,

savait ce qu'était la douleur. Lui aussi avait perdu des êtres chers, mais à travers les années, il s'était imposé comme une sorte de constant. Son corps près du sien, ses bras autour d'elle, sa voix douce... Tout chez lui était fait pour apaiser. Pourtant, ce n'était pas suffis

le, comme si elle pouvait se briser à tout moment, comme si elle n'avait pas assez de force pour avancer. Mais ce n'était pas ça. Olivia savait, dans le fond, qu'elle avait

s'ils étaient là aujourd'hui. » Sa voix se brisa un instant, avant qu'elle n'ajoute, plus sèc

famille encore. Des parents qui étaient là pour lui. Olivia avait l'impression que chaque année, chaque mois, chaque jour la séparait un peu plus de

nt au monde, et qu'elle était la seule personne qui comptait vraiment pour lui. Elle pensait à sa mère, toujours souriante, toujours prête à lui raconter des histoires de sorcières

a vers Liam. « Tu crois qu'on p

arce qu'il faut continuer à vivre, Olivia. » Il marqua une pau

e vide, sans éclat. Puis, sans prévenir, e

endre l'air,

tête. Elle n'avait pas besoin de lui maintenant. Elle avait besoin de trouver un autre souf

, elle se tourna une dernière fois vers lui. « Je ne sais pas si j

Il se contenta de la

ville, enveloppant les bâtiments dans une obscurité presque menaçante. Olivia ne savait pas vraiment où elle allait, mais cela n'avai

rrière elle. Un frisson lui parcourut l'échine. Elle tourna instinct

uffisamment imposante pour qu'elle s'arrête brusquement. Olivia se figea.

basse et calme, presque comme un mu

de

ait, c'était la façon dont il l'observait. Ses yeux... Il y avait quelque chose dans ses yeux. Pas de l'inquiétude, pas de la pitié.

anda Olivia, se sentant

elui qui te

tant la chamade. « Qu'est-ce que vous voulez ? » Elle savait qu'elle ne devait pas avoir peur. Elle n'avai

t même pas la peine d'être précisé. « Ou peut-être tout.

... différente. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se sentait attirée, malgré elle, par cet homme qui

tremblante, « Pourquoi est-ce que tu me parles

it-il, sans hésitation. « Parce

prédateur, mais aussi de protecteur. Quelque chose d'inexplicable. Et Olivia, bien qu'elle ait voulu fuir

r ce soir, » murmura-t-elle, plus pour elle-

erceptible. « Parce que tu es plus proche de ce q

, là, seule dans l'obscurité, sentit qu'elle venait de croiser quelqu'un qui

fflait que tout avait changé. Et qu'il n'y