La Femme d'un Milliardaire Brisé
ce qu'elle lisait. La surprise lui serrait la gorge, mêlée à une pointe de panique qu'elle tentait désespérément de refouler. Toute sa vie, elle avait cru que ses grands-parents
sec et aux gestes mesurés. Il semblait attendre une réaction. Mais que pouvait-elle dire ?
. Ils étaient... riches ? » Sa
« Très riches, mademoiselle Evans. Vos grands-parents étaient les propriétaires d'une entreprise immobiliè
n. Cela semblait irréel, comme une mauvaise blague. « Et pourquoi ne m'ont-i
s protéger. Ou peut-être attendaient-ils le bon moment. Ce que je pe
é pour se décrire. Isla Evans, simple assistante administrative dans une petite agence de design, était désormais propri
a-t-elle, les sourcils froncés. «
intégralité de l'héritage, vous devez travailler pour *Blake Holdings* pendant un an.
'immobilier, réputé pour sa froideur et sa détermination impitoyable. Il était aussi terriblement beau, d'une manière intimid
murmura-t-elle, déjà c
ritage ira à des organisations caritatives sélection
luxe. Mais c'était une partie de son histoire, de son identité. Une entreprise bâtie par les mains de ses grands-parents. Pouva
? Je ne connais rien à l'immobilie
uvez prendre, mademoiselle Evans. Mais si je peux me permettre, vos grands-pa
était qu'un an, n'est-ce pas ? Un an de sa vie pour honorer la mémoire de ses grands-pa
la main et un nœud au ventre. Elle avait passé ces jours à tenter de se préparer, lisant tout ce qu'elle pouvait
espirait le luxe et la puissance. Les regards se tournèrent vers elle lorsqu'elle franchit les portes, des regards cu
made. La réceptionniste, une femme élégante dans un tail
ans. Je... je suis censée
dement son écran. « Bien sûr, mademoise
fermèrent derrière elles, et la cabine commença son ascension. Isla se concentra sur sa respiration, tentant de calmer ses nerfs. Mais cela ne fit qu'aggrav
reau. Le mur du fond était entièrement vitré, offrant une vue panoramique sur
ersonne. Grand, aux épaules larges, vêtu d'un costume parfaitement ajusté. Ses cheveux noirs étaient légèrement en bataille, et son rega
ement rauque. Il se leva et fit le tour de son bureau,
ntimidant, mais il y avait aussi quelque chose d'autre. Une intensité dan
urmurer, sa voix tremblante
sion impénétrable. « J'imagine que cette
happa. « C'est le moin
Puis, d'un geste de la main, il indiqua le fauteuil devant
it s'empêcher de se demander si elle avait fait le bon choix. Travailler pour cet homme ne s