Un été plus chaud que les autres

en Espagne considérée à ce jour comme la dernière étape attribuée aux grottes ornées. Elles se complaisent dans le noir, la difficulté, évoquant davantage des représentations sacrées ou pour le m

condamnés n'aurait songé à se perpétuer, ou à s'amuser. En revanche, l'on relève beaucoup de ressemblance avec les polychromies englouties puis retrouvées, conservées p

plusieurs milliers d'années. Il y a lieu de penser que les naturels ont eu le loisir de

tie. Cela ne signifie pas grand-chose : les populations actuelles du Maghreb sont blanches, quand bien même en manière de boutade, on les dirait aussi grises. Leur type est en tout cas celui de la race blanche. L'Afrique, berceau de l'humanité, sort du cadre en entrant de plain-pied dans le domain

res que terrestres. Épuisons cependant les solutions de chez nous avant de nous lancer dans des projections hypothétiques que nous ne cont

ts ont sans doute eu le loisir d'évacuer les lieux en toute quiétude, comme à Santorin où ils avaient choisi la fuite en mer dès les premiers grondements. Les deux conjonctures ne se ressemblent pourtant pas. L'une a duré q

du sable est bien particulier. Si le vent s'y déchaîne (pas d'arbres), il vient s'ajouter à une autre incidence ; les températures diurnes et nocturnes peuvent présenter des écarts de cinquante degrés, ce qui gé

en cherchant à l'expliquer par les milliers d'années, la solution n'apparaît pas, un os reste coincé dans la gorge. La région était verdoyante, veinée par des fleuves, constellée par des lacs, ouatée par des brises, tempérée pour se situer au-dessus du tropique et sans doute arborée sans avarice.

frustrant ! Nous aurions pu tout aussi bien ne jamais rien deviner dans ce pandémonium assez anonyme et d'un abord

logique. La partie en aval, à l'inverse de celle qui se trouve en amont, paraît aller de soi, proposer des prolongements intéressants, des directions acceptables par l'Histoire en devenir. L'esprit peut aisément trouver des trajets et des descendances reconnaissables, voire reconnues, da

us gros étant l'identité exacte de la race néolithique installée là, pure ou déjà métissée. Justement, le terme de néolithique est-il bien utilisé en ce qui concerne ces hommes étranges, ces femmes si élégantes qu'elles pourraient prendre rang parmi les Crétoises beaucoup plus tard

haleur dérape, le GIEC, encore qu'il ait progressé dans ses évaluations hardies d'impacts extraordinairement complexes admet la faiblesse de ses prévisions. L'évolution biologique ou matérielle recherche l'harmonie, œuvre à combler des trous. Elle se donne pour cela le temps nécessaire, agit et recommence mille fois s'il le faut ; elle est aujourd'hui, hélas pour nous, prise de vitesse par la rapidité des changements induits par notre espèce. Le climat mondial fait le yoyo sans cesse, que ce soit pour passer du très froid au tempéré ou du chaud au très chaud. Un péril, une fragilité incessants,