Mariée a un Super Milliardaire

pit

ire une démarche assurée, claquaient sur le pavé humide avec une cadence désordonnée. Elle n'avait même pas pris le temps d'appeler un taxi, trop désorientée pour attendre.

ple caprice de sa famille. Comment avait-elle pu être aussi stupide  ? Elle s'était laissé séduire par son sourire irrésistible, par ses

anglots étaient désordonnés, mêlés de rage et de douleur. Elle ne comprenait pas comment tout cela avait pu si rapidement déraper. Était-ce Cassandra  ? Avait-elle tout planifié 

r. Son cœur s'accéléra, et pendant un instant, elle espéra que ce serait William, venu pour s'e

t s'éteindre immédiatement la lueur d'espoir qu'elle avait nourrie.

ça-t-elle, mais il leva u

sans attendre d'être invité, refermant la porte derrière lui. «

son attitude criait qu'il n'était pas là p

éta-t-elle, le ton t

u ne peux pas rester ici. Tu ne

taient des coups. « Qu'est-ce que tu veux dire

t agacé par sa résistance. « Tu dois qu

 Tu es sérieux  ? Pourquoi est-ce que je ferais ça 

egard, comme s'il cherchait à contenir quelque chose en lui.

demande, Lana. C'

rouvât cette situation amusante. « Un ultimatum  ? Tu ne peux

qua-t-il, sa voix légèrement p

ça pour me protéger. Tout ça, c'est pour toi. Pour ta précieuse réputation. Pour ta

pénétrable. « Si tu ne pars pas, ma famille s'arrangera pour te détruire, Lana. Ils te

c'est ça  ? Tu as si peur d'eux que tu es p

ie. Tu ne sais pas de quoi ils sont capables. Mais moi, si. Alors, je te le demande encore  : pars. Prends ce que

ix était terrifiante. Elle savait qu'il disait la vérit

ençant à couler. « Que fais-tu pendant qu'ils détruisent

nt pris entre deux feux. « C'est

a pour me protéger, mais tout ce que je vois, c'est un homme lâche. Un homme qui pré

ent, qu'elles feraient éclater l'armure qu

u ne le fais pas... je n'aurai pas d'autre choix que

er, maintenant  ? Après tout ce qu'on a vécu  ? Très bien, William. Si c'est ce que tu veux, je partirai. Mais sache une chose  : tu v

nstant, ses traits rigides, puis se détourna

tement, elle se mit à faire ses valises. Chaque vêtement qu'elle pliait, chaque ob

tion farouche  : elle ne reviendrait jamais. William avait peut-être le pouvoir de