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Le gigolo devenu milliardaire

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1313    |    Mis à jour : 21/11/2024

glissait délicatement sur sa peau, un pantalon de laine confortable, puis s'assit près de la fenêtre, un livre entre les mains. Mais les mots lui échappa

epuis longtemps – cette impression que quelqu'un la v

murmura-t-elle, brisant le silenc

rit une bouteille, en versa un peu dans un verre et se posta devant la grande baie vitrée qui donnait sur la ville endormie. La lumière pâle de la lune illuminait les immeubles, créant des o

uis toujours, une cuirasse dont elle ne s'était jamais délestée. Sa vie dans l'ombre, son travail d'infiltration, d'espionnage et de dissimulation, étai

le visiter. Elle avait grandi en comprenant que le monde se divise entre ceux qui manipulent et ceux qui se laissent manipuler, et elle avait décidé, dès un âge précoce, de faire partie

tout ce qui importait, et elle se refusait à laisser Max s'immiscer dans ses pensées comme une distraction nuisible. Mais que

es dossiers, les notes et les photographies de ses précédents objectifs, cherchant à retrouver le contrôle sur ses

e. Je crois que tu a

a respiration s'accéléra, et son esprit se mit en alerte. Comment connaissait-il son numéro personnel ? C'était un accès

t au-dessus de l'écran, puis elle répondi

me pas les

lus tard, la répons

ant... tu n'as jamais été au

. Il jouait avec elle, testant les limites de son endurance, et elle se

brillant dans la pénombre de son appartement,

Ne t'avise pas de tr

son souffle. Malgré tout, elle ne put s'empêcher de sourire. Si Max pensait la déstabiliser, il se trompait. Au contraire,

*

rouvait semblait soigneusement calculé pour ne révéler que le strict minimum. Pas de réseau social actif, peu de photographies, des articles ici et là sur ses investissements

un petit papier glissé sous la porte de son appartement. Son cœur manqua

le à savoir entrer sa

e, juste pour lui prouver qu'il le pouvait. En plus de la note, elle remarqua qu'un léger parfum

Rien ne manquait, rien n'avait été déplacé. Mais cette seule intrusion dans son espace privé suffisait à la d

iroir qui semblait désormais dédié aux mystères que Max laissait dans son sillage. Elle devait garder son c

user en elle, un mélange de frustration et de fascination

clients, et les notes suaves de jazz en arrière-plan formaient un cocon qui dissimulait ses inquiétudes et son impatience. Elle s'était promis de rester de marbre, de g

cœur s'accélérer légèrement. Il balaya la pièce du regard, ses yeux sombres et perçants la localisant en quelques secondes. Sa

es surprises,"** lança-t-elle, s'

l'observant avec cette lueur d'amusem

les confrontation

la première à détourner les yeux, mais elle sentait son regard insistant sonder chaqu

elle par demander, tranchante. **"Tu voulais me mo

les épaules, affichant

e rappeler que l'inattendu f

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