Le gigolo devenu milliardaire
sque de cette rencontre, mais sans céder un pouce de terrain. Si Max avait quelque chose à lui offrir, elle serait celle qui fixerait les rè
nay, son esprit revenait sans cesse à cette note mystérieuse. Max savait sans doute exactement comment capture
mais qui dégageait une certaine élégance maîtrisée. Elle était là pour observer, non pour se faire remarquer. Elle pr
*
. À peine entrée, Marise le remarqua, assis au fond de la salle, une tasse de café à la main, comme s'il l'attendait depuis
ue de froide indifférence, et pri
uelle, » lança-t-il
rement la tête. « E
nuance de son expression. Elle se força à ne rien laisse
finalement, « pourqu
pondre. « Peut-être parce que je pensais que nous pourrions nous entraid
dent. « Peut-être. Mais pourqu
e formuler sa réponse. « Parce que vous m'intriguez, Marise. Je ne crois pas aux coïn
s lèvres. « Intéressant. Mais le mystère ne suffit pas
es d'affaires peu scrupuleux, n'est-ce pas ? Je peux vous aider. Je connais des choses que même votre patron ignore.
un instant, mais conserva son ai
décidé. Peut-être que je vous demanderai un service. Ou peut-être que je vous
as quelqu'un qu'on peut acheter avec des promesses vagues. Si vou
avant de poser une feuille de papier devant elle. Marise y jeta un coup d'œil rapide
pour dissimuler sa surprise. « Mais cela ne prouve pas
rise. Mais je pense que vous êtes suffisamment intelligente pour savoir que
'accord, » finit-elle par dire. « Mais sachez que si jam
probateur aux lèvres. « Je n'en
imple échange de regards professionnels. C'était comme s'ils partageaient un secret, quelq
rtir. Mais alors qu'elle faisait un pas en direct
ssez-moi vous poser une question
gard pénétrant. Sa réponse se formula d'elle
dit-elle doucement. Puis, sans ajouter un mot, elle quitt
*
ue en acceptant cette rencontre, mais elle sentait au fond d'elle-même que cet homme p
uille de papier dans sa main. Elle la déplia une dernière fois, parcourant du regard les noms et les chif
on attention. Au bas de la feuille, une phrase manuscrit
cun finissent par se r
e, un frisson parc
Elle serrait encore entre ses doigts la feuille que Max lui avait remise, l'examenant sous toutes les coutur
démasquée. Comme si Max avait, en un seul regard, deviné la raison pour laquelle elle avait choisi cette vie de dissimulation et de secrets. Parce qu'elle aussi, tout
ce trouble grandissant, ce mélange d'inquiétude et de fascination qui l'assaillait chaque fois qu'elle pensait à lui. Qui était cet homme ? Que cherchait-il vraiment ?