1 mètre 50
ses genoux, comme si elle tentait de se protéger du froid, mais aussi de quelque chose de bien plus lourd, invisible. Il n'y avait pas de cris, juste un silen
solitude et d'empathie, le poussa à faire le premier pas. Il se pencha légèrement en avant, ses yeux cherchant à ca
e intrusion dans le silence. La femme releva la tête brusquement, ses yeux rouges et gonf
situations d'urgence, mais son cœur lui disait que cette femme avait besoin de quelqu'un. T
vait pas l'air d'une mendiante, mais plutôt d'une personne brisée par une souffrance invisible. Dylan, malgré sa petite taille, se sentit inexplicablement grand face à cette
emanda-t-il, d'une voix
tir d'un profond cauchemar. Puis, d'une voix étei
vantage. Il n'était pas sûr de ce qu'il fallait faire, mais il savait q
lle de gentillesse, mais avec une immense réserve. Dylan tendit une main tremblante vers elle, hésitant encore, mais elle la saisit. Un contact aussi sim
, essayant de l'aider à se sortir de l'ombre de son esprit. Elle hés
Lé
à pour jouer le rôle du sauveur, mais pour offrir un peu de réconfort à une âme brisée. La façon dont elle prononça
pause, cherchant ses mots. « Est-ce que vou
ussi perdu que le sien l'avait été, des instants auparavant. «
orça à sourire, malgré le nœud dans sa gorge. « Si vous voulez,
es bras tremblaient légèrement, mais il ne pouvait pas se permettre de montrer qu'il était aussi en proie à l'incertitude que lui. Il l'accompagna dans
que quelqu'un y chercherait refuge un jour. La femme, pourtant fragile et perdue, semblait plus calme. Elle n'avait rien dit depuis l
s yeux étaient remplis de gratitude, mais aussi d'une profonde mélancolie. « Me
table. « Vous n'avez pas à m'expliquer quoi que ce
op lourd à porter. Puis, après une longue pause, elle prit la parole. «
questions, mais il comprenait déjà une chose : Léa portait un fardeau lourd, un fardeau qui ne se portait pas que sur ses épaules, mais sur tou
de prendre un tournant. Lui, ce petit homme de 1 mètre 50, avait eu l'audace de tendre la m