Captive du Milliardaire
pit
avait comme une tension suspendue dans l'air, une sorte de magnétisme qu'elle tentait tant bien que ma
l commençait à la sonder, non plus avec une froideur calculée mais avec une curiosité étrange, presque séductrice. Tout cela la mettait dans une situation d
our être élégante, avec une touche de mystère. En entrant dans le bureau, elle sentit immédiatement son regard se poser sur elle. Il était là, debout près de la fe
-il simplement, sans aucune gêne, comme si
et lui répondit en levant légèrement le menton, un sourire en coin.
einté de cette pointe de mystère qui l'intriguait. « Ce n'est pas un mens
t l'innocence. « Et pourquoi pas ? Après tou
nce entre eux, son regard devenu plus intense.
u'intimidée par cette proximité. « Que
l posa délicatement une main sur son avant-bras, comme pour l'inviter à ne pas bouger, la tenant captive sous ce
son cœur battre un peu trop vite à son goût.
ptiblement, et relâcha son
couloir pour échanger quelques mots, lui envoyer un message de remerciement après une réunion. Chaque interaction, chaque sourire esqu
lui envoyant des signaux subtils sans jamais se laisser totalement aller. Parfois, elle lui lançait un regard appuyé, d'autres fois elle détournait
le savait qu'il l'avait vue immédiatement, car il s'approcha d'elle en quelques pas mesurés, un sourire presque imperceptible aux lèvres. Elle était entourée de plusieurs
e agréable soirée, » dit-il,
l'indifférence. « Pas mal, en effet.
ant chaque détail de son visage. « Vous savez
nstant, déstabilisée. « Oh ?
on regard plus intense. « À quel point vous s
n montrer. Elle releva le menton et lui lança un regard de défi. «
e satisfait et presque préda
danse sensuelle qui semblait les entraîner dans une spirale. Pourtant, chaque regard, chaque parole échangée, chaq
le surprenait des moments de vulnérabilité chez lui, des instants où il semblait baisser sa garde, même brièveme
bureau pour s'asseoir sur le bord, juste en face d'elle, la forçant à lever les yeux pour le re
r ici ? » demanda-t-il, un léger sourire flottant
is elle ne se déroba pas. « Parce qu
hose de vrai, et elle n'était pas encore prête à lui offrir cette vérité. Elle devait se rappeler pourquoi elle étai
chargée qui régnait dans le bureau. Elle se redressa et, profitant de cette interruption, ell
, avant de répondre. « Peut-être... m
re qu'elle gardait le contrôle. Mais elle savait