Un Amour Inattendu
e pesait lourdement autour d'elle, amplifié par la grandeur des lieux. Chaque mur, chaque porte, chaque
après la cérémonie, se contentant de la guider vers ses quartiers avant de disparaître sans un mot de plus. Désor
ovenait de l'intérieur. Elle s'approcha à pas de loup, curieuse malgré elle. La porte était entrouverte, laissant entrevoir une piè
on d'écouter, mais ses par
ais tranchant. « Le mariage s'est déroulé comme prévu.
n plus vaste, un obstacle à éviter. Elle aurait dû s'y attendre. Ce mariage n'avait jamais été basé sur des sentiments, m
uverte. La famille Arlen n'a plus rien à craindr
tait sauvée, du moins financièrement. Mais elle, que devenait-elle dans tout ça ? Une mariée sans âme, enf
porte s'ouvrit brusquement. Adrian la fixait de ses yeux perçants, une lueur de surprise
ici ? » demanda-t-il d'une
ponse. « Je... je me promenais, je su
s ses lèvres se plissèrent légèrement en une expression indéchiffrable.
, mal à l'aise. «
était presque insupportable, mais Maya refusait de détourner les yeux. Elle voulait c
ement, brisant la tension.
égèrement, faisant signe à Maya de le suivre. « Je vais vous montrer vos
de la maison l'envelopper. Adrian la mena à travers plusieurs co
ents », annonça-t-il
motifs anciens, et un grand lit à baldaquin trônait au centre, entouré de meubles en bois massif. Il y avait un coin salon av
déclara Adrian, se tenant à l'entrée. « Si vous avez
ait magnifique, mais incroyablement oppressant. Tout semblait si parfait, si o
a vôtre ? » demanda-t-elle soudainement, se su
« Parce que c'est ainsi que
'insista pas. Elle savait qu'il n'avait aucune in
ta-t-il, un éclat étrange dans les yeux. « Mais
, confuse. « Qu
Vous n'êtes pas libre de circuler où vous voulez dans cette mais
es sourcils.
es dont vous n'avez pas besoin de vous occuper. Contentez
dites, de secrets bien gardés entre ces murs. Mais que pouvait-elle faire ? Elle était piégée
s ma chambre », finit-e
puis tourna les talons sans un mot, la
ouvait désormais. Maya se laissa tomber sur le grand lit, fixant le plafond richement
submergea. Sa nouvelle vie venait de commencer, et elle ne s
. Après avoir passé une nuit agitée dans ce grand lit étranger, elle se leva lentement, ses muscles raides de tension.
ière le manoir semblait parfaitement entretenu, mais étrangement vide. Pas un oiseau, pas une fleur épanouie, seulement des
r de ces murs étouffants, même si ce n'était que pour un moment. Peut-être que