Un Amour Inattendu
n mariage. Pas de dentelles délicates, pas de longues traînes, ni de sourire sur les lèvres. Juste une robe sobre, presque austère, qui témoignait de la nature transactionnelle de c
e sa mère derrière la port
une voix calme, mais son cœur battait
t apparaître sa mère, les yeux humid
faible, presque un mens
lueur de joie. Mais Maya savait qu'il n'y en avait aucune à trouver. Ce n'était pas un mariag
bouquet. « Si je ne le fais pas, on perdra to
sa joue. « Je suis désolée de t'inf
voix de Maya trembla légèrement. Elle ne vou
térieur, et le visage de sa mère se t
utomate, ses pas lourds et mécaniques. Le chauffeur en costume noir lui ouvrit la portière avec un signe de tête respectueux. Elle jeta un
Maya avait l'impression que le monde autour d'elle continuait de tourner, indifférent à son sort. Les mains trem
e d'Adrian Castellano se dressait telle une forteresse, entourée d'un jardin parfaitement entretenu mais étrangement dépourvu de vie. Le port
ue étourdie par l'immensité de l'endroit. Elle se tenait là, seule, dev
guida vers l'entrée principale, où une gran
ait imaginé : luxueux mais sombre, décoré avec un goût impeccable mais sans aucune chaleur. Les murs étaient
déjà dans le hall
eux noirs étaient peignés en arrière, et son visage, bien que d'une beauté glaciale, restait fermé, impassible. Mais c'était ses yeux qui la frappèrent le plus : froid
il d'une voix grave, rauque, qui
de maîtriser son trembl
tendit la main vers elle, mais il n'y avait rien de tendre dans ce geste. C'était un
Suivez
tenante, où un homme en robe de cérémonie les attendait. Pas de prêtre, pas
es questions posées, sans même jeter un regard à Maya. Quand vint son tour, elle m
fatidiqu
mariée », annonça l'offic
ne fermeté calculée. Il se pencha, effleurant à peine ses lèvres contre les siennes. Ce n'était pas un baiser
immédiatement et s'adressa à l'officia
mbla ses affaires, et quitta
nait de sceller son sort, mais elle n'avait aucune idée de ce qui l'attendait. Elle releva les yeux vers Adrian, espérant trouver
eutre, presque professionnel. « Vous aurez vos propres quartiers, et
e de trouver ses mots. Tout
ent la tête pour murmurer à son oreille : « Vous avez fait u
grande salle vide. Le silence retomba, pesant, et elle sentit une larme couler le long d
Le manoir Castellano, sombre et silencieux, l'avait engloutie. Elle ét
ne pourrait plus jama