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CŒUR BRISÉ LES CICATRICES DE L'ESPOIR

Chapitre 4 Le prix de la liberté

Nombre de mots : 1193    |    Mis à jour : 13/11/2024

: Le Prix d

ravers les fenêtres brisées semblait être le seul écho de ce qui restait de sa vie d'avant. L'argent, que Vincent avait récupéré sans scrupule, ne faisait qu'aggraver son sentiment d'injustice. Ses enfants

e Vincent lui avait imposé, se prostituer à son propre détriment, pour que ce même homme la laisse tomber sa

exe et amère. Vincent avait tout prévu : la garde des enfants, le partage des biens, tout. Il étai

la pénombre. Son visage semblait changé, comme s'il appartenait à une autre personne, une autre vie. Elle n'était plus Emma la femme épanou

s eux était un supplice, une torture. Elle n'avait plus de but, plus de repères. Elle s

-

quoi que ce soit. Mais la réalité du quotidien finissait toujours par la rattraper. Il fallait manger, se laver, se prépar

aire pour s'en sortir. Elle se rendit dans une petite épicerie de quartier, le cœur lourd, la tête pleine de pensées noires. Chaque coin de rue sem

travail. Claire était une femme agréable, souriante, et avait toujours été une oreille attentive lorsque le

» demanda Claire, d'un to

te rencontre inattendue. « Claire...

» Claire l'observait attentivement, comme s

elle sentit les larmes monter une fois de plus. Elle se força à ne pas céder. « Mon mari m'a laissé

« Je suis désolée, Emma. Je... Je ne savais pas.

uce, bienveillante, d'ouvrir les portes de la tristesse et de la solitude. Emma accepta alors l'invitation muette, sans

-

ser de questions, lui offrit à boire et l'invita à s'installer confortablement. Leurs discussions étaient simples

cts, » proposa Claire, avec un sourire encourageant. « Tu

ne sais pas... Je n'ai plus de références.

lus forte que tu ne le crois. Parfois, il faut juste un petit coup de p

e sentait repliée sur elle-même depuis si longtemps, emprisonnée dans son désespoir, qu'une o

Claire. V

parlèrent de tout et de rien, des petits tracas du quoti

urageuse, Emma, » dit Claire d'une voix douce. « Et tu vas t'en sortir. Ça prendr

abitude de se voir sous cet angle. Elle avait toujours été la femme dévouée, la mère attentive, l'ép

'était pas seule. Pas encore. Et peut-être que la vie lui off

-

érant trouver un travail, même modeste, qui lui permettrait de se relever un peu. Petit à petit, elle recommença à voir des rayons de lum

ourire, en pensant aux petits progrès qu'elle

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