Résister pour aimer
douleur dans mes mains pouvait faire taire les pensées qui tambourinent dans mon crâne. Chaque coup est
fre
revois, avec son sourire suffisant, ses yeux glacés, cette confiance en lui que je voudrais lui arracher. Ce n'est pas s
plus violent. Le sac se balance sous l'imp
ar te casser les
à apparaître quand je veux l'oublier. Je serre les poings jusqu'à sentir mes on
d se pose sur moi avec une facilité déconcertante, comme si j'étais un simple adversaire, c
ue de venir me surveiller ? je
ma poitrine. Pourquoi ça me fait ça ? Pourquoi à chaque fois qu'il me
erait dommage que tu te blesses avant qu'on ait l'occasion de mo
i répondre. Ce n'est pas juste un combat entre nous. C'est comme si à chaque fois qu
il savait que j'allais venir à lui. Plus je m'avance, plus je sens cette foutue tension entre nous, cette étincelle que
errées. Je vais être en pleine forme. Et quand je serai su
vocation et... autre chose. De la curiosité ? De l'inté
sourire plus large. Gauthier, si je te sous-estimais, je ne serais p
épasse, c'est trop fort. C'est de la colère, je me dis. Rien d'autre que de la rage. Mais quand
s pas contre des démons. C'est toi
reste planté là, à me regarder comme si je n'étais pas s
ais on sait tous les deux que ce n'est pas
ut le monde, et c'est très bien comme ça. Mais quand il prononce mon prénom, c'est comme s'il transgressait
qui bouillonne en moi. Je veux lui crier dessus, lui dire qu'il
arde encore un instant, puis se détourne, prêt à partir. Mais av
t, Gauthier. Sur le
à, seul avec cette putain de r
ette fois, ce n'est pas seulement la colère qui me fait frapper
ce qui me fai