Le Contrat de Mariage avec L'Alpha
peser sur elle. Elle le savait en signant le contrat : elle allait être scrutée, observée, jugée. Mais rien ne l'av
evaient autour d'elle, les conversations s'interrompaient brutalement lorsqu'elle passait à proximité. Elle tenta d'ignorer l
une lueur de curiosité piquée dans les yeux. « J'ai entendu des choses hier..
e poli. « Oui, c'est vrai. Mais je préfère ne
elle savait que cela ne ferait qu'alimenter davantage les rumeurs. Elle s'efforça de garder son calme, de ne pas se laisser e
utres faisaient preuve d'un soudain intérêt forcé, comme si sa valeur avait soudainement grimpé depuis cette fameuse annonce. Elle compre
ment seule, son téléphone vibra. Un appel entrant, d'un numéro qu
st moi, ta t
s, si ce n'était quelques appels sporadiques de l'un ou l'autre membre. Et là, soudainement, ils revenaient dan
» répondit-elle, essayant
s dire que c'est surprenant, toi qui étais toujours si discrète. Ta mère serait... enfin, je pense qu'elle aurait été surpr
pas que sa famille revienne dans sa vie pour de mauvaises raisons, e
oment, » dit-elle, cherchant à écourter la conve
ut-être qu'on pourrait se voir ? Tu sais, la famille, ça compte, surtout quand la vie devient
Mais elle se contenta de répondre calmement. « Je t'appellerai q
téressé, refaisait surface juste parce qu'elle portait désormais le nom d'un homme influent. La situation
Je passe te chercher. Nous devons discuter de certaines règles pour la suite. » C'était un message simple, direct, sans fioritures,
elle. Il descendit et l'invita à monter, puis ils se dirigèrent ensemble vers un café discret. Une fois installés, R
ires, » commença-t-il, d'un ton neutre mais autoritaire. « Il y a des attent
le savait bien que cet accord n'était pas un conte de fées, mais entendre ces
sans laisser de place à la discussion. « Je sais que c'est brusque, mais nou
qu'elle abandonne son espace personnel, son cocon, pour s'installer dans une maison qui n'éta
le finalement, consciente qu'i
à chaque événement important. Les rassemblements de la meute, les réunions ave
la terrorise. Elle ne savait rien de ce monde, de ses codes, de ses traditions. E
la plus grande discrétion concernant notre accord. Personne ne doit savoir
entir non seulement à son entourage, mais aussi à elle-même. Elle avait accepté ce contrat en pensant que
t-elle, se sentant tout à coup acc
s. Puis, il posa une main sur la sienne, une main ferme mais étonn
es, tout se passera bien. Nous avons chacun des sacrifices à faire dans cet accord. Le t
a situation plus facile. Elle sentait déjà l'étau se resserrer autour d'elle, entre les rega
ndit compte que plus rien ne serait comme avant. Elle laissait derrière elle