Mon contrat de mariage avec l'alpha
chait en repoussant l'inévitable, mais tout, autour d'elle, semblait accélérer les choses. Le jour de la cérémonie approchait à grands pas, et avec lui, le fardeau de la soumission. Amal se ret
e. Ce mariage la lierait non seulement à Amjad, mais aussi à la
semblait une chaîne, chaque pli un rappel de son destin. Les heures filaient, mais son esprit restait enchaîné à des pensées contradictoires. Elle était une simple
emières rumeurs de l'union se répandaient comme une traînée de poudre. Ce n'était pas un simple mariage. C'était
oute vitesse. Sa mère était là, resplendissante dans sa robe de cérémonie, une image de perfection et de pouvoir. Mais dans ses yeux,
it résonner dans le vide. Elle ne se senta
se détourner, marchant d'un pas rapide, visiblement press
cceptation du mariage, tout cela avait changé quelque chose en elle, brisé une partie de son innocence. Mais il y avait aussi quelque chose qui g
hée fièrement. Les invités étaient nombreux, tous membres de la meute ou alliés politiques. Le silence était lourd, chargé de l'anticipation du mariage. Amjad était là, imposant et froid, comme une statue de marbre
rs lui, mais il n'y avait aucune chaleur dans ses mots. Seulemen
la lourdeur de ses pensées. « Merci, » murmura
e mariage scellerait une nouvelle ère, une ère de stabilité pour la meute, ou du moins, qu'il servirait de tremplin pour d'autres projets encore plus grands. Mais dans les ombres, un murmure semblait se faire entendre,
l'ombre, un homme que d'autres semblaient ignorer, mais qui avait une présence indéniable. Il n'avait pas l'air d'un membre respec
hota Amal à sa mère,
'est Eamon, » dit-elle d'un ton bas. « Un prétendant... ou plutôt, un rival. Il a des v
la meute, mais elle n'avait pas réalisé l'ampleur de son influence, ou de ses ambitions. L'homme n'était pas là pour célébrer u
suprématie, une lutte pour la place qu'ils allaient occuper dans cette meute. Amal n'était qu'un moyen d'atteindre un objectif plus grand, et elle en était consciente. Mais alors que les yeu
able, son regard rivé sur le sol comme s'il n'était qu'un spectateur. Et Amal, bien qu'entourée de gens, se sentait plus se
ut un acte vide, et Amal se sentit coupée du monde, coupée de tout ce qui aurait pu être sa vie. Lorsqu'Amjad la prit par la main po
une nouvelle réalité commençait à se dessiner. Une réalité où Amjad et Amal ne seraient pas