Mon contrat de mariage avec l'alpha
'était une atmosphère d'oppression qui régnait. Amal avait passé les dernières heures dans sa chambre, à tourner et retourner dans son esprit ce qui s'était passé plus tôt dans la journée. La
perte de ce qu'elle croyait être son avenir, mais là, face à ce
d'elle qu'elle accepte ce mariage comme un fait accompli, comme si tout était déjà écrit dans les étoiles. Mais pour elle, rien n'était au
e si la tension qui régnait dans la maison avait épuisé ses dernières réserves de patience. Il la fixa un moment, ses yeux d'
« Ce mariage n'est pas une option, c'est une nécessité. La meute a besoin de stabilité, et toi, t
ait plus de ce discours. De ces mots qu'on lui répétait depuis son en
eux pas être la pièce dans ce jeu de pouvoir ? » s'écria
ta de soupirer, comme s'il en avait assez. « Ce n'est pas toi qui choisis, Amal. Nous n'avons jamais choisi.
le ne ressentait pas. « Tu fais ce qui est juste pour la meute. Ce mariage est l'option la plus viable
une place pour le cœur dans cette équation. Ses yeux s'embuaient de larmes qu'elle ne voulait pas laisser couler, mais la frustrat
r. Amal se laissa tomber sur son lit, les poings serrés, tentant de maîtriser les sanglots qui montaient en elle. Elle avait l'
rencontre. Il portait un manteau sombre, ses cheveux sombres tombant légèrement sur son front, mais ses yeux... Ses yeux étaient durs, froids, presque inaccessibles. Il la regard
a un épais dossier sur la table de chevet. Amal le fixa un instant, ses yeux se posant sur l'intitulé du document : « Contrat de Lune. » Elle ress
» demanda-t-elle, sa v
union, » répondit-il, presque avec indifférence. « C'est formel, légal, et il stipule les conditions de
ceur. Il n'y avait pas de place pour l'amour ici. Seulement pour les obligations, les devoirs. Et cette idée la fit suffoquer. Elle baissa les yeux, fi
brisée. « Je n'ai jamais voulu ça. Je ne peux pas accepter... ac
presque compatissant, il dit : « Tu n'as pas le choix, Amal. Ce n'est pas moi qui ai décidé cela. Ni toi, ni moi n'avons le contrôle. Mais il
éalité, une réalité qu'il semblait avoir intégrée depuis longtemps. Il n'y avait pas de place pour la rébellio
, la voix tremblante. « Je dois accepter
s yeux. Puis, il hocha lentement la tête. « Oui, » répondit-il, sans
r, ses mains tremblantes alors qu'elle en saisissait le contenu. La signature. Ce
té. Une nécessité imposée par ceux qui la dirigeaient, ceux qui contrôlaient son destin. Et dans un s
voix ferme, bien que brisée.
nfort. C'était un acte de soumission, et dans ses yeux, elle vit une tristesse qui n