Playboy : L'art de la séduction 2
rmenté, prit la route vers l'autre côté de la ville pour rejoindre Talon. La marche de neuf kilomètres serai
and il arriva chez Talon, qui
é Larsen ? Toujours à l'appart o
est avec Maelis, et ils sont tous les
tuant la conversation de blagues un peu douteuses
ourquoi ce report
e main dans les ch
e je ne donne pas mon accord pour un
t à rire, s
s en carbone sur le front ou un d
par faire sourire Kyrell,
jardin de la villa, baigné dans une lueur dorée, accueillait un barbecue autour duquel se trouvaient Maelis et le jeu
rs inutiles. Nous avons grandi, nous savons que ces disputes n'apportent que du poison. J'ai regretté ce geste déplacé de l'hiver
un sourire complice. Moi non plus, je
a un sourire d
moments comme ce soir, autour d'un bon
ement au cœur. Maelis n'était plus qu'une amie proche et surtout, la compagne de Bianca. Dans son appartement de Lons, Jelena l'attendait, et elle lui manquait. Finnian, quant à lui, continuait de griller les côtelettes,
nir ce soir ? Demanda
avec son petit ami, Ph
istant sur le « ta », tout en jeta
Soupira Maelis. Quand est-ce qu
s bêtises, j'ai d
is. Elle est amoureuse
ne m'aime toujours pa
avec Maelis, elle n'avait eu de cesse de le défier. Après son accident et ce qu'il appelait son « handicap improba
applaudit pour détendre l'atmosphère, non pour
querelles. On est ici pour p
souriant. Juste quelques mises a
pardonnait ses sautes d'humeur. Elle lui avait même pardonné ses infidélités passées avec
tourna v
n a confirmé sa présence, mê
sollicité Modi. Il est
is pas costaud, mo
aelis résonn
ameux Pépito pourrait sou
, Maelis, pour
tout le temps, et je le c
rieuse, passait d'une blague à l'autre, jus
prend, Maelis ? Dem
ie, répondit-el
ivre, con
t charmante, a
plais
complimente et
alors je prends ce qui
ité. Les enfants continuaient leurs jeux dans l'ombre des arbres, tandis q
ispersa. Maelis prit le bras de Kyre
as, c'est trop ri
t t
Champagnole, c
ire mutin aux lèvres. J'ai un truc
, il la
oi s'ag
se pe
encore, mu
ut, mais son re
la chose i
la-t-elle, la gaieté de l
sé uniquement par le bruit
lumant la petite lampe sur la table basse, il découvrit Maelis, endormie. Sa bouche était légèrement ouverte, laissant échapper un souffle qui sentait l'Arbois. Elle n'avait pas encore retiré sa robe; celle-ci, courte et dorée, épousait magnifiquement ses jambes délicates. Les é
éfit des bretelles de sa robe, la laissant pendre à ses hanches, avant de l'enlever délicatement. Le vêtement glissa au pied du lit, révélant un corps qu'il avait toujours désiré, ses formes parfaites, malgré des seins qu'il aurait voulu un peu plus généreux. Il se souvenait des pla
le, sa tête se lovant contre celle de Kyrell, qui, attiré par l'odeur familière de son ancienne amante, se laissa emporter. Maelis, loin d'être endormie, lui avait en fait succédé de ses bras protecteurs depuis le canapé, et à
ngée, Maelis ?
e émergea de
vraiment dormi,
eule, fit tomber tous
sa virilité jaillir, un élan brusque avant même que Maelis ne puisse profiter de la situation. Qu'importe, elle
ses attentes. D'habitude, il prenait son temps, savourait chaque instant. Ce n'était pas si grave, se dit-il, cela lui laissait la sensation d'avoir à moitié trahi Jelena. Quant à Maelis, elle n'avait pas cette pensée. Elle aimait e
hait les lèvres de l'autre sans jamais vraiment se touche
chose d'impor
ette surprise
rait avoir un