Le Sang des Démons et des Anges
or
bousculer pendant trop longtemps et il s'était complu dans le pouvoir qu'il avait sur moi. Lorsqu'il m'a prévenu que je n'y arriverais j
été une vér
ter était à moitié vampire et moi à moitié démon. Comme le beurre de cacahuète et le chocolat, nous allions parfai
e mes vingt et une années pour savoir qu'une fois qu'on laisse un mensonge s'infiltrer dans une relation, on peut aussi bien ouvrir la porte à n'impo
'équipe avait ses propres pouvoirs surnaturels, et j'étais sur le point de découvrir que j'avais moi aussi des pouvoirs. Au lieu de me faire sentir comme un m
j'étais comme eux. Mais ils ont tous oublié un peti
'allais pas rester et laisser les
e je quittais ce quartier industriel pour retourner à mon appartement, je pensais à tout ce
Mais j'avais mon indépendance, et c'était énorme. N'importe quel démon qui pensait qu
prisée dans le monde des démons, ce n'était pas seulement parce que j'avais des pouvoirs « spéciaux », comme Carter et ses amis avaient essayé de me le faire croire. Bien sûr, je pouvais déplacer des obj
halant l'odeur de la mort sur mon visage alors qu'il me disait que j'étais la fille d'un dé
ue papa Démon n'ait pas été là pendant toutes ces an
s j'aurais pu me débrouiller tout seul. Maintenant que je savais comment utiliser mes pouvoirs et
me Carter pour me protéger. La prochaine fois que
Carter. C'était la raison pour laquelle je partais. Carter était arrogant, ce
u ne l'as plus dan
uitté mon emploi au centre d'appels, mais je pouvais facilement trouver un
s, j'ai réalisé qu'une partie de moi voulait vraiment aider les gens, soulager leur douleur et améliorer leur vie. Abandonner l'école d'infirmière signifierait laisser derrière moi cette parti
gé de maladie de l'école d'infirmières pour le reste de ce semestre. Mon conseiller avait eu la gentillesse de me l'accorder, mais je devais revenir au prochain semestre si je voulais rester
ma vie à ce moment-là, c
avais gagné, sans rien d'autre qu'un café et un beignet pour me sustenter. La première chose à faire, avant même la douc
rue. Il y a quelques semaines, j'étais l'une d'entre eux, les yeux vitreux fixés sur les rangées de soupes et de pâtes en co
i lointaine à présent. La fille que j'étais à l'époque me manquait, celle qu
quelle fille a
lars. Je pouvais vivre sans problème avec des macaronis au fromage en boîte et du thon en conserve accompagnés de légum