Milliardaire ruiné par l'amour
rriverait un jour à s'en sortir. Son dernier emploi venait de lui filer entre les doigts et l'avenir lui semblait plus sombre que jamais. La chaleur étouffante lui donna
. Orpheline depuis l'adolescence, elle avait appris à se débrouiller seule. Chaque jour, elle affrontait les obstacles avec un sourire qui masquait à peine les blessures qu'elle portait
et heurta Sofia sans le vouloir. Le choc fit tomber le sac de cette dernière, renversant son contenu sur le trott
ura Alexandre en se baissan
épuisée sur le visage d'Alexandre lui rappela des moments qu'elle avait e
dit-elle. Ça arri
quelque chose d'inexplicable l'envahir : un mélange de curiosité, d'attirance, et de réconfort. Ce n'ét
a-t-elle, remarquant q
cha la tête,
Disons que ce n'est pas la
le glissa dans son sac. Elle devina, à son
rfois, ça aide, proposa-
s il y avait chez cette jeune femme une aura rassurante. Sans comprendre pour
t-il finalement. Et pour être honnête,
chissant. Puis, sans la moindre h
erie ferme dans une heure, mais il reste toujours
monde où chacun semblait préoccupé par ses propres prob
u es sûre que ça
lons-y avant que
lexandre lui raconta brièvement son parcours : une série de petits boulots, quelques échecs, et une grande envie de réussir malgré les
pas ressenti une telle connexion depuis longtemps. Avec Sofia, il n'avait pas besoin de prétendre ni de cacher ses f
, Sofia lui tendit un sa
enir jusqu'à demain, dit
sa gentillesse, la
nt te remercier. Tu vi
les épaules
ste besoin d'un pe
en. Le courant passait si bien entre eux qu'ils perdirent la notion du temps. Alexandre
ils échangèrent leurs
oir, dit Alexandre avec
ête, un sourire
i au
imple, presque banale, mais quelque chose en eux avait changé. Une petite étincelle venait de naître
peut-être réservé de mauvaises surprises jusqu'ici, mais cette rencontre avec Sofia lui donnait l'impression que tout n'était pas perdu. Il
e avait le pressentiment que sa rencontre avec Alexandre n'était pas due au hasard. C'était comme si le destin avait décidé de mettre
mais déjà, ils savaient que cette renc