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Le sourire des anges - Tome I: Alliance

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1160    |    Mis à jour : 07/09/2021

comptes quand même pas y aller hab

tu reproches à

t faire l’abruti devant des filles

i je fais

s très bien ce que les gens trouvent à l’amour. Dans tous les films, les gens souffrent, et malgré tout ça, ils en rêvent encore. Ils se pressent dans les mairies pour signer tout un tas de paperasse et faire des promes

eu, Blow, je peux a

n sac. Quelques secondes plus tard, elle tendit un stylo à mon

s désolé… C’e

tousles soirs ! Je suis ta première fan ! C’est t

non ! pro

us ne me tutoyez pas et vous ne vous mêlez pa

mérites de ce « Blow » mais mon frèr

eries. Tu nous laisses tranqu

ssures qu’il ne m’avait pas laisséesoigner correctement la veille. La fille le regarda, la peur pouvant se lire

e-la partir, c’est bon, il n’y a pas

e doutai de pouvoir les séparer mais il la lâcha moll

e, main

Blow… Et merci ! me

ées, elle partit presque en

oi, ça ? lui

oulait pas

cun cas, faire de mal à une femme. C’est bien ce que papa s’est acharné à t’apprendre, non ?! Alors pourquoi là, alors qu’elle n’avai

, calm

e tournai les talons en

ah,

es parents, voire plus. Le soir, quand j’étais plus petite, il m’aidait à faire mes devoirs, c’est lui qui m’a appris à faire du vélo sans les roulettes ou encore du roller. Interloqué, il resta là

nt. Je ne sais pas ce qu

asin, faisant se retourner la vendeuse sur l

lque chose pour vou

endre ses mensurations, s’il

d implorant la pitié et

eur veut bien me sui

rs et un boxeur de rue de Marseille, mais qui venait des quartiers Nord, donc ça ne pouvait pas être mon frère. Je fermai donc la page et attendis calmement le retour de mon frère dans un ray

sait de fringues, et pour trouver un costume qui tombe parfaitement sur ses épaules carrées et qui lui plaise, on a bien

rtir, bisous

t que je décide de le suivre de loin. De toute façon, je connaissais mon frère, et il ne me dirait rien de lui-même. Ils rigolèrent encore un peu puis partirent tous les cinq en courant, moi sur leurs talons. Où pouvait-il donc filer toutes ces nuits ? Je n’arrivai pas à croire que je faisais ça, moi qui lui reprochais toujours d’être trop sur mon dos. Une fois qu’ils eurent terminé leur course effrénée, je me cac

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