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L'Alpha maudit

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1188    |    Mis à jour : 15/10/2024

n contrebas. La lune est encore haute, mais l'aube approche, et avec elle, la sensation que quelque chose de majeur

atteindre un précipice, un gouffre béant que les anciens appellent la « voragine ». Je n'hésite pas une seconde. Je prends un élan et me jette dans le vide, profitant d

e tout en entendant une voix bien trop familière

dois toujours arriver de m

t ces mots. « Hahaha,

nquantaine d'années, mais en réalité, elle est bien plus âgée, presque quatre siècles. Son esprit

nt. « Tout ça, c'est la faute de ton pèr

is un loup à moitié

i, je sais, mais tu aurais pu h

le pendentif que mon père m'a donné avant de p

a enfin remis,

me l'a don

tant la magie qui y réside encore, une connexio

u n'as rien pour ta pr

petite-fille, Emely, et si ton nez fonctionnait encore correc

beignets fraîchement cuits me parvient. « Tu sais bien

urée par une rivière. Grand-mère a toujours préféré la solitude, bien que je lui aie so

ent une tasse de thé parfumé, comme elle seule

ole demain, tu l

is. Je ne suis pas n'im

« Alors, tu sais aussi que

on thé en toussant. Je

uoi

devrais voi

ar sourire malgré elle. « Ton père n'était

tu devrais ven

jà assez de loups da

. « Mais tu es t

ly. Nous ne sommes pas faites pour la vie de meute. Nous devons apprendre à compter

. « Tu es une Alpha, mais n'oublie jamais ta part de sorciè

ui pleurent comme si elle partait pour toujours. Je me penche à leur

rs pendant notre ab

nter sur ma moto. Megan monte la sienne à côté de moi. Nous ne pouvons pas circuler

s, l'odeur nauséabonde des vampires nous parvient déjà. Mes amis gr

là pour observer, pas po

er. Quelque chose me dit que cette année, la paix fragile

elque chose d'encore plus oppressant, une odeur sous-jacente que même le parfum de Chanel n°5, omniprésent autour de la femme en jupe noire qui avançait vers nou

es loups-garous ? » deman

uois, ne put s'empêcher de répondre a

de réponses. « Ce n'est pas courant de voir quelqu'un p

vait jamais été du genre à s'impliquer dans ces joutes verbales. Pendant ce temps, Megan,

r, les gars, concentrez-vou

je me tournai vers l'humaine. « Oui, nous s

, visiblement un peu

Après avoir frappé, nous sommes entrés, et il nous a

là ! » dit-il en nou

e certaine méfiance dans ses mots.

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