Le prix de la liberté
e suis pas ta propriété. Je pars. » J'essuie mes larmes
NG
. « Un pas de plus dehors, et tout ce que tu aimes dispara
coulant sur mes joues. « Je te hais. » Je claque la p
ins poumons dans un cri de désespoir. J'aurais dû rester à New
nu un cauchemar, une prison qui me ronge un peu plus chaque jour. Tous le voient, le sen
ut. Un mot de plus, et je la descends. Trois ball
» pour décrire ce que je ressens pour ell
a devrait me soulager ou m'inquiéter davantage ? C'est étrange, inhabituel pour les frères de ne pas avoir déjà préparé une attaque surprise. Ils vivent pour faire peur, pour sem
bre qui me hantera toujours. Trois hommes pendaient, suspendus à l'envers, leurs cris déchirants l'air, tandis qu'Osnell, sans la moindre émotion, découpait leur chair, laissant des morceaux tomber dans une mare de sang à leurs pieds. Les hommes du clan les entouraient, imp
voile, alors que Gaspar, surpris, s'approchait lentement, comme pour éviter de me terroriser davantage. Mais ce qui m'a le plus
ns que je connaissais. Il
message, je m'interroge constamment : que préparent-ils ? Pourquoi ce silence sou
rifiée... l
er à tout ça, me sortir de cette situation avant qu'il ne soit t
l est déjà tard et je déteste être en retard. Mais rien ne semble convenir. Après avoir fait des achats
passons-nous autant de temps à faire du shopping pou
ait donné plus d'informations sur le thème de la fête, peut-être que cela m'aurait aidé à cho
dégoût évident, ses yeux lançant des éclairs dans la direction de Sara. So
le éclate de rire, renversant presque son bol de céréales. Ses longs cheveux blonds rebondissent t
s être en retard. "Alors, que devrais-je porter, selon toi ? Chic ou osé ? Et fais attention à ta réponse, sinon je te ti
e avec un clin d'œil : "Opte pour qu
fente audacieuse qui monte jusqu'à la cuisse. Parfaite. Avec un dos nu, et une paire de talons assortis, je sais que cette robe fera de l
Wouhou ! Maintenant, va t'amuser, et surtout...
iment dégueulasse." Elle me fait un geste obscène en riant, et je lui renvoie une
d'action !". Elle raccroche
uitter mon appartement et de démarrer
ant des yeux comme s'il émergeait d'un rêve, avant de s'avancer d'un pas lent. Mon regard suivit son mouvement tandis qu'il prenait son te
cette fois-ci, ce qui lui donnait un air décontracté mais chic. Ses cheveux, normalement bien lisses, tombaient devant ses yeux, ajoutant à son charme
ne... tu es magnifique ! » déclara-t-il, les yeux plantés dans les m
e. » répondis-je en tournoyant avec une grâce exagérée. « Toi aussi, tu es su
n parcourut ma colonne vertébrale. Il m'entraîna vers l'entrée du manoir, ses lèvres frôlant ma joue. L'atmosphère oppressante du lieu semblait peser davantage à