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L'imposture du Milliardaire

Chapitre 4 4

Nombre de mots : 3330    |    Mis à jour : 11/10/2024

cérité. « Je comprends, vraiment. Parfoi

je le trouve, » murmura-t-il,

une ballade douce. La voix était magnifique, remplie d'émotion. Jake et Sophie se regardère

osa Sophie. « Quitter notre zone de confor

d. Cela nous permet de nous reconnecter, de n

nd, Jake savait que cette soirée était bien plus qu'un simple changement d'environnement. C'était une opportuni

, prenant sa main dans la sienne. « C'ét

qui illuminait son visage. « Et moi,

rieur semblaient lointaines. Il avait envie de tout. De vivre pleinement, de ressentir

va Sophie, le sourire aux lèvres, et réalisa qu'ils avaient vraiment besoin de ces moments simpl

nc

d'émotion. « Je pense que c'est toi qui as beso

ris cette décision sans elle. Ce bar pittoresque, cet élan de folie, cette

ssion que l'avenir n'était pas si sombre. Au contraire, il s'illuminait d'une lueur d'espoir. Ce changement

ère douce émanait de l'intérieur, créant une ambiance chaleureuse qui contrastait avec le luxe glacé de leur quotidien. Jake

i ? » demanda-t-elle, se

Jake avec un sourire assuré, bien que son cœu

sations animées et de musique envoûtante qui flottait dans l'air. Les murs étaient ornés de photos anciennes et de souvenirs, cré

tif sur chaque client. Sa journée avait été longue, et il espérait simplement passer une soirée tranquille, sa

idé, s'approchant du bar. Sophie hésita un instant, mai

mais au fond de lui, il ressentait une tension palpable. L'atmosphère était dé

en se penchant sur le bar, la voix pleine de c

poursuivit-il en se

it-elle, un peu plus réservée, réalisant à quel point l'ambia

ntraste était frappant : ici, pas de serveurs en costume, pas de décorations luxueuses, juste des gens simple

ns, mais quelque chose chez Jake et Sophie l'intriguait. Leurs manières étaient différentes, leurs vêtements élégants t

ble ! » Sophie sourit, légèrement sceptique, mais elle leva so

ta-t-elle, mais dans sa voix, il

corps. La saveur riche et intense le réchauffait, et il pouvait sentir une lég

yeux pétillants d'une curiosité qu'ell

rtaient souvent des histoires chargées de drames, et il ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui amenait ce

» demanda Sophie à Nathan,

Je travaille ici. Mais j'aime bien l'ambiance.

n, curieux. « Qu'est-ce q

gens viennent ici pour se détendre, pour s'amuser. C

dans ses pensées. « C'est vrai. Il y a quel

tournure intéressante, demanda, « Qu'est-ce

ant de passer leur commande sans se soucier de lui. « Eh bien, j'aimerais avoir mon propre bar un jour.

ition. « C'est un beau rêve. Je suis

les encouragements du milliardaire.

Mais Nathan restait attentif, une tension sourde dans son estomac. Il sentait que cette soirée ne serait pas juste une autre nuit ordina

ce qu'il veut, » dit Jake à Nathan, qu

n. « Je fais de mon mieux, » répondit-il avec modesti

aimez, exactement ? »

le service. J'aime voir les gens heureux. Quand je sers un bon c

re de trouver quelqu'un qui se soucie vraiment de son tra

sourire sur les lèvres. « Je ne veux pas être juste un ba

nt. « Je trouve ça admirable. C'est important de la

en plus à l'aise, mais au fond de lui, il savait que quelque chose était sur le point de se pro

manière dont il semblait profiter de chaque instant. De l'autre, il ressentait une légère jalousie. Cette

table à l'autre bout du bar où des clients semblaient rire bruyamment. Cela le fit souri

tre que c'est rafraîchissant. Je ne me souvie

ervenir. « Vous savez, c'est souvent dans les mom

. « Parfois, il suffit de s'éloigner des choses ma

s une ambiance de fête. Les rires, les applaudissements et les cris de joie résonnaient dans tout le bar, cr

écria-t-il, entraînant

uis sourit, la lueur de l

quoi p

que. Il rêvait d'une vie comme celle-là, mais la réalité était tout autre. Ici, dans son

motion. Jake et Sophie dansaient, éclatant de joie, et Nathan se

e en l'air. « À la liberté, à la joie et à toutes les choses simples

e rire. « À la

le début d'une aventure inattendue. Les destins étaient sur le po

note d'arrogance lorsque Jake commença à se laisser aller sous l'influence de l'alcool. Les verres se succédaient sur le bar

e sourire aux lèvres mais les yeux vifs. « Qu'est-ce que

raidi. « Jake, ce n'est pas t

ture. « Regarde ces gens, ils semblent heureux d'être ici. Mais qui viendrait rée

obligeantes auparavant, mais quelque chose dans la façon dont Jake parlait le touchait personnellement. C

e faisant plus acerbe. Il se leva, désignant le barman d'un doigt accusateur. « Et toi, qu'est-ce que tu fais ici ? T

r de son travail, se figea un instant. « Je fais de mon mieux pour servir

jeta un coup d'œil à l'addition accumulée sur le comptoir. « Voilà ce que je vais faire, » dit-il avec

peignant son visage. « Jake, a

un geste théâtral, il la lança à Nathan, les billets s'éparpillant comme des confettis dans l'air.

s des clients s'éteignirent lentement, remplacés par un silence pesant. La humiliation qu'il ressen

a poitrine. Elle se leva, regardant Jake avec une intensité qu'

juste une blague ! » s'écria-t-il, les mains levées dans un geste

, le ton désespéré. « Regarde ce que tu viens de fa

ait mué en un malaise profond. Pourtant, sa fierté était encore plus forte que son sens de l'empathie. Il jeta un coup d'œil à Nathan, qui tenta

uelque chose qu'il n'avait pas anticipé : de la douleur, mais aussi une

ra Nathan, son ton se faisant plus ferme. «

due, s'avança et posa une main sur le bras de Jake. « On de

it pas céder. « Pourquoi devrions-nous partir ? Ce n'est

nt, ils te jugent. Tu es un milliardaire, mais là, tu n'es qu'un homme ivre. » Elle se to

ir. Son ego le poussait à se défendre, à prouver qu'il avait raison. « Tu sais quoi ? Je sui

ment, son regard fixé sur Jake. « Peut-être que je devrais te remer

u lieu de cela, il haussait les épaules, ignorant la douleur qu'il avait causée. « Allez, on s'amu

On y va, » dit-el

e et de confusion dans son esprit. Alors qu'ils sortaient, il jeta un dernier rega

l'argent qu'il avait jeté, mais c'était la manière dont Jake l'avait traité, comme s'il n'était rien. Pourtant,

profonde inspiration. « Je suis désolée, »

e fissure se former entre eux. Le regard de Sophie était désormais différent. Il y avait un

ls ne sont pas là pour te divertir. » Elle baissa les yeux, la tristesse rem

on arrogance, mais il ne voulait pas l'admettre. Alors qu'ils marchaient en silence, la tension entre eux grandis

r, mais ce qu'il avait fait ce soir était au-delà de ce qu'elle pouvait accepter. Les rires dans le bar résonn

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