La famme militaire

qui l'avait récupérée à l'aéroport la conduisit vers la grande villa Fénix. Dana descendit, accompagnée de ses

s serviteurs la virent, tous baissèrent la tête, respectueux. Sa présence était puissante, et aux côtés de ses amis, sa force semblait palpable. Ils lui tenaient le bra

qui n'avaient aucune nouvelle de lui, qui n'apparaissaient que pour ses anniversaires. Elle les observa sous ses lunett

r du temps à contempler le magnifique paysage. Elle se précipita là-bas courant comme si sa vie en dépendait. Ses homm

centre de la pièce, il y avait le cercueil. Elle regarda l'endroit où il avait

es larmes jaillissant comme un torrent. Son chagrin, ac

es, avait un aspect désolé. Elle demanda à quelques serviteurs de lui apporter les rideaux blancs que son grand-père aimait tant, ainsi que ses fleurs préférées et de l'encens. Elle prit le temps, avec l'aide des serviteurs, de décorer l'endroit. Des gou

ur qu'elle prenne l'air frais, mais toute la beauté du paysage lui échappait. La tristesse l'engloutissait. Ils retournèrent à la grande villa où se trouvaient tous les autres membres de l

és d'elle. Son grand-père l'avait élevée, lui avait permis d'achever ses études, puis l'avait encouragée à entrer dans l'armée. Eduardo s'a

mme qui la soutient ? Il es

ue c'est la première fois qu'ils le voi

pour introduire un homme dans la

Son poing se serra. Eduardo la pressa contre son siège pour l'empê

l n'y a plus de senior dans cette famille ? Comment

ils aînés de Béatri

es roues. Le grand-père est mort, il est

uer. Personne dans la famille ne savait vraiment qui elle était, quelle force e

artie de cette famille, mais ils étaient des étrangers complets. Ils ne savaient vivre que sous l'ombre du grand-père. Leur prest

este de condoléances, puis lui murmurer quelques mots, Félix prit sa place. Il lui toucha l'épaule, et elle s'appuya sur lui. Les femmes étaient furieuses, ne sachant pas quel type de rel

ation a-t-elle avec eux ? Pour

vrons le

vons pas ? C'est agaçant d

e de ne pas être à sa place-elle se disait : « Pourquoi as-tu été choisie par le grand-père ? Nous sommes toutes ses petites-filles. Il t'a seulement ép

se de thé. Félix lui prit la main et lui tendit la tasse. Tous observaient ces gestes.

l'armée ? Des affaires, tout cela me manque. Écouter ses paroles, entendre ses menaces quand je ne l'écoutais pas, qu'il me menaçait de m'envoyer dans un bataillon près de l'armée russe. Qui vais-je désobéir maintenant ? À qu

inrent, personne dans la famille n'osa bouger face à la sécurité imposante qui

amené tous ces hommes ici ?

, c'est normal de voir tant d'h

e morte a quelque chose sous le coude. Elle a t

nous avons déjà fait

à partir, j'attendais c

ouler comme prévu, n

ent terminé, tout le monde retourna à la villa. Dana