Une Nuit Séduisante
aisons clairsemées. Sur sa gauche se trouvait un fouillis de bois qui s'étendait vers le nord. Sur sa droite se trouvaient la célèbre
le long de la route. « 560. 562. Cinq-
maison suivante était vide. Il y avait une allée envahie par les mauvaises herbes, mais pas de numéro ni de boîte aux let
s'éloignait de la baie et une épaisse forêt d'arbres bloquait à la fois la vue et le bruit des vagues. Les branches et les broussailles de la grande n
accrochèrent à un bâton en plastique blanc qui dépassait de la route. C'était l'un des panneaux d'adresse du comté.
entre les galets blancs, les brins d'herbe étaient coupés à une hauteur raisonnable par une machine fabriquée par l'homme. Les br
était trop étroite pour faire demi-tour et elle n'était pas très douée pour faire
anoir. Ses tréteaux pointus poignardaient le ciel sombre comme pour avertir d'un danger. Ses yeux parcoururent le toit en bardeaux jusqu'au bois décoloré qui constituait le r
ssonna. L'humidité s'enfonça dans ses os tandis qu'elle serrait son manteau contre elle et s'avançait vers le portail. L'épais fer forgé était entouré de chaque côté par un mu
la maison. Un gouffre de saules imposants et d'herbes gelées
ne de pierre à sa gauche. Elle s'approcha et réalisa que la plaq
appuya sur le buzz
et aiguë lui répondit :
a gorge. « M-je m'appelle Maggie O'Hara
oit personne, par
inférieure. « Mais je... e
s irritée. « Je t'ai dit de partir, sino
ls en voyant l'interphon
e idée sournoise lui vint. Il ne semblait pas y avoir de caméras vidéo ni d'aut
tu m'entends
à nouveau : « Que fais
urit. « J
ne pouvait pas la voir. Si l'homme qui gardait la porte ne pouvai
ait la