Une Nuit Séduisante
e, le silence de la forêt n'était rompu que par sa respiration haletante. Ses longs cheveux br
filait derrière elle sur le chemin. Ses yeux jaunes lui p
e massive se tenait devant elle. Elle se pencha et lui caressa la joue de sa patte chaude. Son pouls s'accéléra. Une for
e l'envahit. Elle ferma les yeux et se laissa
. La jeune femme était assise dans le fauteuil marron préféré de son père. Le coussin était usé jusqu'aux re
l'entrée. Sa paume reposait sur le bois creux et il baissait la tête. Dans son autre mai
re prise sur la valise lui firent craindre de
s et son visage était pâle. « Maggie ? » L'homme d'âge moyen tâtonna pour remettre ses lunettes en p
stent droites. « Mon laboratoire est sorti à quatre heures, ma
la conduisit jusqu'au vieux service à dîner. Ils s'assirent face à face et il lui saisit les mains. Il f
quillèrent. « Ton travail
aiment stupide de ma part. J'ai défié un employé,
s finances de l'entreprise co
ais ce jeune homme est un... u
endant ? » d
J'étais en retard pour remettre mon rapport et mon supérieur a
eut pas être la fin ! Tu devra
vers elle. Son visage était pâle tandis qu'il lui ser
rompant leur communication. « Tu ne te se
équences. Le loyer de l'appartement, tes frais de scolarité, les factures de téléphone. » Il gémit et s'affala sur sa chaise. « Seul un mirac
it. « Nous n'avons pas besoin d'un miracle, papa.
préjugés et a refusé de me recommander. » Il releva la tête et leva les bras au ciel. « Comment
Maggie le tira hors de sa chaise et vers sa chambre. « Pourquoi ne vas-tu p
ssée. « Oui, peut-être que ce serait mi
porte de sa chambre et se retira dans leur petit salon. La nuit morne qui régnait à l'extérieur, der
is la seule à subvenir aux besoins de leur petite famille, et lui et Maggie savaient que son maigre salaire d'emplo
sauver, ou que M. Forres
sa. Elle ferait d'eux un miracle avant que l'occasion ne leur soit donnée.
eille route de la baie. Elle se leva d'un bond, mais s'arrêta un instant
te, papa, et avec ce mir
ée sur le trottoir devant leur immeuble, une Volkswagen qui avait connu des jours meilleurs dix ans avant s
glissa dans la voiture et parcourut la myriade de rues en direction de l'est, en direction de la grand
cran représentaient un article écrit dans l'un des journaux locaux i
s raisons de santé, et les rumeurs de sa mort prématurée persistent. La société nie qu'il ait quelque chose de mal avec lui, mais des sources internes ont informé ce journaliste q
oindre à son domicile par téléphone et