Mon point faible
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? »il demande et me fait un clin d'œil. Je roule des yeux. « Je vais bien, comment vas-tu ? »Je lui demande. «
e comme ça », dis-je. Il hoche la tête. « Tu penses que je ne le sais pas ? Papa le sait trop b
ouer de la guitare », lui dis-je, mais il secoue seulement la tête. « Non, il va paniquer quand il décou
taire. Je sais qu'il n'aime pas en parler, et je pense
s choisir un siège, je vais chercher les boissons »,
t sans sucre », soupire-t-il et se dirige déjà vers la
ds mon téléphone et je vois
qu'elle m'a envoyé un message, c'était en fa
r, ma chère m
C'est comme si tu ava
'étais... a
ce que je conna
le fais pas. Comme
e PAS de sujet. A
rencontré au bar. On passe d
rd. Le dîner s'
-ce que cet ami de
t-ce que je dis ? Je ne veux pas lui dire qu'il es
Rien de
? C'est une
héna
e et lève les yeux, pour trouver les yeux sombres de
gir normalement,
ci, tout seul ? »il demande et lève un sou
i », dis-je, la gorge sèche. Il serre la mâchoire, et je mentirais si je disa
veux noirs. J'acquiesce, jouant avec mes mains sur mes genoux. Le coin de sa bouche se contracte, et il pose une main sur le doss
? »il demande et penche la tête sur le côté, inclinant un sou
re – t-il et me caresse la joue. Je halète au
à son contact, mais no
etto. Je sursaute, m'éloignant de lui. M. Amoretto
ourne vers moi et fait un clin d'œil. « Je te verrai dans les parages, Athéna », dit – il et se détourne, sortant du magasin avec l'homme qui l'a a
demande pas cela de manière possessive, juste curieux. C'est ce que j'aime chez lui. Il me
« Je dis et prends une gorgée de mon café au lait. Chris hoche l
oi. Tu dois faire sortir Vi
e à dire q
nt que Vincenzo Amoretto lui propose un emploi à son bur
as. « L'a-t-il fait... ? »Je marmonne incr
c de grands yeux. « Je sais ! Je commence la semaine prochaine ! »dit-il avec le plus grand sourire qu
sourire. Papa se tourne vers moi avec tellement de bon
d sourire, haussant les sourcils en nous interrogeant
r ! Pourq
utour de moi. Je souris poliment à tout le monde, salue les gens qui passent et font le
lle devait faire « quelque chose ». Je suis sûr qu'elle sort avec un autre gars, qui
plus épais, des étincelles d'électricité tout autour et je sens tous les poils de ma peau se soulever. Je me retourne et vois M.
un clin d'œil et regarde mon père. Mon souffle s'arrête dans ma gorge et je me retourne rapidement avec les joues rouges, et je continue
ici discute entre eux. Personne ici n'a mon âge, tou
eux
rre dans l'évier et monte dans ma chambre où je peux enfin enlever ces horribles talons. Juste au m
oir, t
près de moi. J'avale et regarde vers lui.