Mon point faible
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ïe ! C'é
messages et vois que j
elle. Qu'est-ce qu
uver un vieil ami de m
Si tu t'ennuies, tu peux to
mais je n'arrive même pas à terminer ma phrase d'étonnement. « Oui, ça l'est. C'est grand, n'est-ce pas ?
ommes arrivés. Je t'enverrai
les trois vers les grandes portes. Mes talons cla
je déteste tell
était aussi riche », marmonne
it maman et lève les yeux vers le manoir. C'est trop grand
ne sais pas mais je pe
avec qui tu peux le partager. Nous marchons jusqu'à la porte d'entrée, et papa son
l n'y a pas de défauts. Je soupire de soulagem
rière, c'est quand que
tient derrière, je doi
porte. Attends non, un homm
sus et il a des lèvres charnues. Ses pommettes sont hautes et pointues et ses cheveux brun foncé sont peignés avec du gel. Des sourcils épais sont placés au-dessus de ses yeux
lue. Ses yeux se posent sur
vois pas, mon bon ami », dit-i
quide. Il a un accent italien que je veux écouter pour toujours. Mon pèr
ses ensemble. Ma mère se lève et appuie un baiser contre s
cen
me rends compte que ce nom lui
en la regardant. Ma mère lui dit autre chose ava
en avant. Il se tourne vers moi, e
au creux de mon estomac. Ses yeux sont entourés de cils épais qui courent de h
ule de sa langue fait qu
st hésitante. Je ne veux pas qu'il pense que je suis
in. Sa main est grosse et rugueuse. Il a
es doigts se sentiraien
e ma main autour de la sienne. Quand ma peau le touche, je se
r autour de ses lèvres, mais il disparaît dès qu'il est venu. Je vois ses yeux scanner à nouveau mon corps avant
maison. Nous entrons tous et avec ma mâchoire par terre, je regarde autour
e quoi ils parlent parce que je suis hypnotisé par sa voix. C'est tellement doux et riche. Et cet accent... ça me donne envie d'écouter sa voix pour
gne à la table. Ne voulant rien gâcher, je sors soigneusement la chaise et m'assois. Ma mè
out de suite, devant lui pendant que ma mère rigole en disant que tous les types de nourritu
Je serai celle qui servira pour vo
uses ? À quel po
de gentiment. Tout le monde demande un verre de vin, et quand la
ouris d'un air rassurant. Elle hoche la tête et verse de l'eau dans mon verre
a fait longtemps qu'on ne s'est pas v
Amérique sont intéressées, c'est pourquoi je suis venu ici, en fait. C'est pratique qu
bien », dit sincèrement mon père. « Ouais, comment vas-tu ? »
papa en prenant une gorgée de son vin. « J'aimerais y revenir plus tard, dans mon étude », d
al d'être
ne sais pas si tu te souvien
ers moi, et j'essaie de reprendre mon souffle
tait une petite enfant », dit-il en se léchant les lèvres.
de dire que ma petite fille n'est plus petite », sourit maman et appuie un baiser sur ma
e trouver ma voix. Pourquoi su
i avec l'université, je veux travailler chez un éditeur », dis-je timidement, détestant le silence de
n bureau ici en Amérique si jamais vous voulez voir à quoi ça ressemble et si vous voulez savoir ce qui se