La dignité de l'amour
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se et s'abaissa jusqu'au bord du siège. Immédiatement, la chaleur a commencé à s'infiltr
'étés es-tu
ant de répondre. « J'ai quatorze ans. »Une soudaine
a dernière fois que
ée, ses joues creusées de cercles noirs sous ses yeux obsédants. En raison de son état fragile et maigre évident, elle avait estimé que
votre chapeau ? »Dem
déchaîna une longue masse enchevêtrée de cheveux blond argenté. Le manque de nourriture avait fait des dégâts car ses cheveux étaient fins mais ils avaient le potent
hes-tu tes bea
ui faisait douloureusement mal, voulant désespérément faire confiance à quelqu'un, à n'importe qui. Elle avait besoin de compagnie et d'un
a gronde mais elle resta silencieuse, écoutant attentivement et alors Ginelle continua le
étudiant l'horrible ecchymose juste
iolette où il l'avait frappée avec une telle force que le co
t'es e
le compassion et sympathie qu'elle faillit fondre
ait ses cheveux. Même elle l'avait prise à premièr
demanda Eloïse, «
son chemin. Quelle femme de race douce se dérangerait avec un rat des
t arrivé. Aucun enfant ne devrait avoir à endurer une telle cruauté. »Sa main est tombée du visage de Ginelle et Eloïs
ieusement avec le tapis blanc luxuriant sous ses pieds. Son rythme brusque s'arrêta rapidement alors qu'elle se retournait et reg
it pas suggérer qu'elle, une enfant appauvrie, vivait parmi les riches ? Ce n'était pas correct. Éloïse était-elle cruelle
comprend
use. J'étais mariée à l'homme le plus charmant et le plus beau et lui et moi étions profondément amoureux. »Elle s'arrêta et quand elle parla ensuite, sa voix se fissura d'un soudain découragement :
tait pleinement sur le beau visage d'Eloïse. Elle avait perdu son mari et son enfant. Bien qu'ils aient t
e alors qu'elle disait : « Un homme cruel vous a volé une en
'être mère ? »Ginell
es yeux bleus. « Toi et moi sommes semblables dans nos peines et je crois qu'ensemble nous pouvons répare
et s'arrêta alors qu'un coup
est entrée portant un plateau chargé de nourriture. Instantanément, l'estomac
este quelque temps, Ginelle. Au moins jusqu'à ce que la sa
t de mal de rester un moment ? Pour se réchauffer et manger à profusion et se permettre juste un peu de compagnie à laquelle elle aspirait si désespérément ? Elle étudia la femme assise en face d'elle. Comment pouvait-elle
car pour l'instant, elle était à l'abri du temps glacial et d
arler sans cesse. Elle n'avait pas tout à fait réalisé à quel point elle était vraiment affamée jusqu'à ce qu'elle jette un coup d'œil pour trouver le pl
de la chambre derrière elle. Immédiatement, la vieille femme se tourna vers Éloïse, le visage flétri pincé de