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L'alliance secrète <tome  1>

L'alliance secrète <tome 1>

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Chapitre 1 chapitre 2

Nombre de mots : 9370    |    Mis à jour : 25/08/2021

ci se trouve la famille Garcia, composée d'un père à très la noble réputation dans ce milieu de vie et qui

qui répond à leur confort. Les journées des membres de ce foyer se résument depuis des années à s'occuper de leur ferme pour les parents tandis que la jeune femme c

eune femme assise sur un petit tabouret en bois, chantonnant avec l'esprit plein de diverses pensées le refrain d'une comptine qui lui

a suivre de l'œillade silencieusement, « Tu n'es surement pas au courant, un duc va venir. » révèle-t-elle, toujours avec enthousiasme une fois plus près de son interlocutrice, elle se mord de suite la lèvre inférieure à l'attente d'une réponse et d'une que

s mains sur le seau plein de lait de vache récemment trait. « Tu veux quoi Abby ? » questionne-t-elle enfin la rouquine

ce à cette nouvelle, c'est tout de même un noble qui, selon les rumeurs, viendra dans ce trou perdu » s'explique-t-elle d'une voix pleine de sous-entendus, « Qu'est-ce qu'une personne, au titre le plus important après celui de prince, viendrait fai

che vraiment de cette rumeur. » ajoute Patricia en voyant son interlocutrice secouer frugalement sa tête de gauche à droite face à cet aveu, « Il vit sa vie paisible de duc dans son château, ou je ne sais quel type de domicile avec ses propres occupations et moi de mon côté, je me demande pourquoi ne pas faire de même ? » dégoise cette même interlocutrice d'un air pensif volontai

endre ses occupations. « Tu ne veux pas savoir ce qu'un jeune duc, très beau soi-disant passant, ferait à Daridge, cette histoire me paraît impro

t cet intérêt pour lui ? » pose-t-elle la question d'une locution qui se sent de plus en plus accusatrice tout autant que ses yeux bleus fumé la fixe ave

s mains tremblantes et le rythme cardiaque plus accélérée suivi de sa respiration qui parait contrôlée plus pén

l'apercevoir déjà fuir au loin pour l'éviter et bouder dans son coin à essayer de calmer sa respiration seule. La

peut pas lui rendre en retour. Puisque lorsque le sort se retourne sur elle, les propos deviennent moins drôles soudainement. « Elle avait cas s'abstenir de m'importuner avec ses ragots incessants. » Marmonne tout bas la voix mélodieus

it causé par le véhicule augmente assez fort pour finalement claustrer la curiosité de la pers

sant le seau de lait face à sa propre personne, elle aperçoit une silhouette s'approcher à grande vitesse à dos d'une moto. « Curieux, il y'a des mot

casque noir de motard et à la carrure très virile qui laisse deviner qu'il est de gente masculine. Suite à la perception de ce détail, le concerné présent

se lève de sa moto sans remarquer sa présence à elle, il soupire en posant son casque sur le siège de ce véhicule, puis

voix rocailleuse sur un ton bas et interrogateur. Il lève la tête de sa feuille et pose son regard sur la maison face à lui, par accident il croise le regard de celle qui se tient debout et figée juste avant la porte de cette

amais je fais l'erreur de parler, je passerai pour une idiote. » Pense cette personne vêtue de rose poudrée en regardant avec de gros yeux le divin étalon qui se tient soudainement à un pas

t-ce qu'on est ? » l'interroge la voix modulée de l'apollon à deux mètres d'elle ,q

t assez latino et sans parler de sa façon de s'exprimer, il a de bonnes manières. » Décrit la jeune demoisell

» la questionne avec confusion le jeune homme qui ne s'admet pa

ible l'odeur, qu'il dégage et qui lui plait tant à elle. Cependant, lorsqu'elle le voit croiser ses bras à l'apparence robustes contre s

ecul sans faire attention au seau de lait traits précédemment dans la journée. Patricia perd alors l'équilibre sous l'œil avisé de

dernier en attirant l'attention de son interlocutrice qui décide de lui faire un petit sourire d'excuse face à son comportement...Non-exemplaire. Et bien que cette situation soit assez chaotique, ce petit étirement de lèvres

lui proposant sa main. Bien sûr Patricia ne peut être que ravie de ce geste et elle lui fait un plus petit sourire mais moins maladroit. Il l'aide alor

se mordant la lèvre inférieure, à la recherche d'issues de secours elle glisse une mèche de ses cheveux à l'arrière de son oreille, « Mais oui ! Je

'elle retire de sa poche. De suite, il serre sa main sous forme de poing et le garde près de ses lèvres rosées pour se retenir de rire face à cette situation, « Ce

Et oui, je parle bien cette langue. » répond Patricia à la question qu'elle vient à peine d'assimiler ... Elle en a pris du temps, mais cela n'importe peu puisqu'el

connue, ce dernier se réduit-il à approuver ces paroles en secouant sa tête de gauche à droite, sans

d'un indice pour savoir où est-ce qu'il est, bien que ce soit sur Patricia qu'il dépose ses prunelles en dernier, « Vous pourriez me dire si je suis au bon endroit. » l

'un cri féminin venant de loin les interrompe en leurs mettant une petite fro

d'une démarche hystérique vers le véhicule présent à quelques mètres de son propriétaire, « Patty où est son conducteur ?

est poussée par elle à sa vue et elle se presse à grands pas vers lui. « C'est vous le conducteur de cette chose pas vrai !» Articule-t-elle avec vivacité

vous faites allusion à ma Kawasaki ZH²Performance, alors oui, elle est bien à moi.» Admet il d'un

t là! Patricia tu y crois ! Il ne sent pas la bouse de vache en plus ! » S'exprime-t-elle d'une voix pleine d'entrain en passant à la fin de chaque phrase, son regard de celui qu'elle effraie à celle qu'elle agace de son comportement. Cette même demoiselle s'agrippe au blouson en cuir du conducteur de mo

ette inconnue à terre qui ne lui parait pas avoir toute sa tête. Après un bruyant soufflement face à sa montée d'angoisse , il se reprend et se

« Quoi ? Non mais c'est vrai ! ... Il est beau oui, même époustouflant, divin, exquis, éblouissant et éclatant... Et oui moi aussi il me plait, mais moi je sais rester classe et za

té vers lui, « Oui, vous avez parlé à voix haute et oui, j'ai tout entendu. » certifie ce dernier les craintes de la jeune femme qui v

re sensible à son charme masculin ravageur, elles ne font pas passer l'estime d'el

urée et amicale cette fameuse petite menteuse avec les bras croisés derrière son dos en ignorant

-t-il une défaite face à ce mensonge en essayant de retourner les choses à sa faveur avec la petite intuition que cette parole

emoiselle au regard perdu dans celui de son locuteur, « Il me trouve jolie. » Poursuit elle de penser à cette flatterie en valsant sa tête de

qu'elle a l'air bien partie pour baver face à lui à force de rêver les yeux ouverts. « Cette adresse vous dit quelque cho

de se figer en les reconnaissant, « Ici. » dégoise cette dernière avec les sourcils froncé

e la porte d'entrée de la maison simpliste. Lorsqu'il sent le regard forcé de la personne en sa compagnie, il se reprend en se rappelant que sa quête n'est pas encore arrivée à

la jeune demoiselle qui analyse sèchement ce motard, « Mais je vous préviens, je sais me défendre ! » Précise-t

ontinue ce dernier en décroisant ses bras d'athlètes pour poser sa main droite sur l'épaule gauche de celle qui lui fait actuellement face, « Je dois d

chement Patricia en employant un ton interrogatif pour

tre pour lui faire part de la raison de sa présence à lui, il préfè

faisant mine de se perdre dans ses pensées. « Tu vas m'épouser. » lui clarifie

ée, ne peut se retenir de perdre son équilibre, sonnée face à ces propos, elle trébuch

es pieds à lui tandis qu'elle se redresse avec la mâchoire serrée et les nerfs qui

voix tremblante en craignant l'idée de ne plus être maitresse de ses propres gestes et de se faire contrôler et dominer par un

mile tout de même juste après les derniers propos de sa fiancée et se crispe en en retenant un détail curieux, « Minute... Tu ne sais pas qui je suis. » reformule-t-il ses propos à elle en la regardant du coin d

n canular si peu réaliste, je te conseille de t'en aller. » le met-elle à la porte d

uer encore plus l'étranger qui se prétend être son fiancé

changement de proximité entre eux en sa non faveur, « dis-moi... Tu ne veux pas m'épouser. » ajoute-t-il sans s'attendre à ce qu'elle s'énerve

vite en posant ses pieds sèchement sur le sol avec pour destination en vue, l'entrée de chez elle. Bien qu'une fois sa main droite posée sur

puisqu'elle préfère essayer de libérer son bras de son emprise à lui, par elle-même. « Arrêtes de faire ton intéressante, je ne te lâcherai que lorsque tu m'auras répondu. » l'informe l'étranger en la plaquant contre

répond donc sèchement la brune qui contre toute attente se voit assez bien avec el

ans s'attendre à la voir froncer les sourcils en partageant un regard inte

voix faussement amicale ,bien en gardant en tête l'idée que son ignorance face à ces deux mots est dû à sa pauvreté et l'isolement du vill

uïe de la brune et la met en rogne aussitôt, car de tel propos ins

et unique Patricia Garcia de ses principes et de son honneur ! Vas donc courir la galipote ailleurs l'houlier et arrêtes de jouer avec mes pieds ! » Déblatère avec colère la demois

nte le grand blond de formuler d'une voix neutre en incitant la demoiselle à arrête

ion. » Riposte de façon aussi soutenue que lui la charmante fermièr

e un sourire au coin à l'idée d'être fiancé à une personne qui a du répondant e

que ce premier tête à tête laisse en lui comme séquelle, « Supposons que j'ai un titre haut placé de noblesse, comme par exemple…Prince, l'idée

e soit pour ; de l'argent, un titre noble, ni même pour sauver ma peau ! est-ce clair ? Monsieur l'effronté. » Termine-t-elle de r

« Mais dernière chose. » murmure ce dernier de sa voix grave à l'oreille de Patricia qui avale sa salive difficilement face à cette proximité, l'étranger à la carrure flatteuse le devine et se redresse juste assez pour plonger son regard à lui dans le sien, « Tu

able de ces sensations nouvelles, sourit avec ses longues canines blanches bien harmonieuses dévoilées aux yeux de celle qu'il libère enfin

tes !...Il m'a frôlé les lèvres! je vais le tuer.» Estime intérieureme

ndis que Patricia retire sa tête de la boue en étant entièrement couverte de terre humide, elle fixe avec la mâchoire serrée ce m

rrière de façon à libérer ses pieds mais restées elles ancrés dans la terre, « Oh non ! mes chaussures toutes neuves ! » Râle avec dégout la villageoise qui se relève doucement d

ournant sa tête vers la route face à lui avant de dém

s'éloigner avant de souffler d'agacement, « Papa ! un pignouf a abimé mes chaussures ! » cri la demoiselle

e que mademoiselle Garcia pénètre dans la première pièce q

ui en attire très vite l'attention de

boite de conserve en ses mains de façon instinctive sur la tête de Patricia. Cette dernière pousse un petit g

nt. Ce même homme se presse à la fin de ses paroles en direction de sa fille pour s'assurer qu'elle n'a pas été blessée, il prend un mouchoir de sa poche et regarde le visage de sa protégée qui est couvert de boue, « C'est clair, ce

n père, elle se met à fermer ses paupières pour les essuyer, puis passe rapidement d'un geste acharné

voix passive, sans s'attendre à ce que son interlocuteur se presse de poser ses mains à lui sur ses épaules à elle. Ce geste so

ge monsieur Garcia d'un ton i

lité de la voix, elles se lancent alors un regard mitigé entre elles avant de redonner leur at

se retenir d'analyser ses réactions pour autant, il se met juste à tourner autour d'elle en faisant mine de réfléchir à un détail qui a l'air de bie

rcia la même question en se tenant son menton avec sa main d

déstabilisée par l'œillade insistante posée sur elle, « Pourquoi cette question ? » Dégoise-t-elle avec les mains moites et l

toire et danser d'une danse malaisante aux pas discordants afin de partager sa joie, qui n'est pas co

rsonnes autour de lui avec ces mêmes mots qui sont dit en accompagnant un pas de déhanché à chaque fin de phrase. « Veronica tu imagines, c'est lui ! » l'informe la voix de l'être qui sans le savoir sème la déroute dans l'esprit de mademoiselle Patricia. Il prêt

le se retient de le faire savoir d'emblée. Elle prend plutôt le temps d'analyser la situation de

ation avec la vue brusquement floutée et la respiration légèrement saccadée, assez pour en faire sortir les deux adultes de leur petite bulle, « C'est lui, qui ça lui ?

faire comprendre une vérité assez douloureuse. Il préfère se tenir droit et remettre son col tel qu'il se doit avant

'on. » Tente l'homme de famille d'expliquer en avançant

rive quoi ? » l'enjoint la voix ferme et défiante de l'adolescente q

out en jouant avec ses doigts à la recherche d'une échappatoire. Cela dit, Patricia croise ses bras et

s, « Il arrive des fois qu'on soit forcé de faire une douche avant de commencer un interrogatoire, voilà ! . . . Je ne voulais pas te vexer avec mes mots mais, puisque tu insistes, eh

deur désagréable inhabituelle, « Je ne sens rien d'autre que la boue....Et du lait aussi. » Pense Patricia en surveillant du coin de l'œil son père qui affiche un grand sourire forcé et qui lève ses deux pouces en l'air pour ne pas émerger de suspects, bien que ce soit cette drôle de façon d'agir qui dénonce sa culpabilité et sa peu

le de sa salopette de fermière en jean assez usée accompagnée de grosses bottes noires en caoutchouc

z. » Marmonne à voix basse la jouvencelle en tres

’en entend pas la porte grincer légèrement lorsq

avance vers elle pas à pas en se faisant entendre par le br

concernée par cette appellation qu’elle s’en retourne aussi vite, « Pourquoi tu t’habil

es tenues usées pour la ferme, même la robe de ce matin j’ai dû débattre avec vous pour rester avec. » Rétorque alo

les lèvres avec en tête l’importance de ne pas céder à la tentation

hui ? » Reprend Patricia les rênes de la discussion d’u

jolie alors toi aussi tu dois te faire belle. » s’explique Veronica avec le sourire collé au visage en posant la tenue qu’elle tenait en ses mains, sur le lit de son interlocutrice, « Fais toi jolie et sois heureuse, tes parents s’aiment. » termine l’adulte ces paroles qu’elle accomp

nte la brune de formuler avec to

sés sur son lit et de suite un tout aut

le la lance sous son lit sans même lui donner une quelconque faible chance. « Je vais plutôt prendre de quoi m’habiller dans mon propre armoire. » Confie-t-elle à sa propre personne en se dirigeant vers son armoire si maladroitement qu’elle retombe contre ce fameux meuble mentionné précédemment. Elle lève sa tête vers le haut en entendant un bruit qui parait rien prévoir de bon, elle aperçoit un vas

’idée de faire face au propriétaire de cet

débuter le travail qui lui reste à faire. Morceau par morceau, tout se devaient de se li

ourrit fortement par son subconscient qui lui répète qu’elle va surement blesser les sent

eurniche-t-elle sur son sort en remarquant que la forme de son vase a plutôt celui d’un flamant rose, « Je ne vois qu’une soluti

elle se met à frapper le vase à nouveau avec la batte pour le briser et recoller à nouvea

fort que lorsqu’à ce même instant, un autre type de vacarme s’entend en bas et signale la ve

nera jamais… Les carottes sont cuites pour moi. » se lament

en ayant la gauche cachée dans sa gauche puis lâche sa batte qui tombe brutalement au

elques bouts de colle blanche collé à la joue, aux mains et en ayant la salopette légèrement poussiéreuse et la tresse assez

t son père ou une source de voix à suivre. Heureusement pour elle, de suite elle repère des vo

rcils froncés tout en s’avançant vers son père qui à l’inverse d’elle affiche plutôt un sourire forcé et gêné en voyant son état, « Papa…J’ai cassé le vase qu’il y avait dans ma chambre. » Lui avoue-t-elle le crime avant qu’il se crispe en se tournant vers elle, « Je sais qu

rsonne qui se fait le plus remarqué est celle qui rire à gorge ouverte en étant

un coup de coude à l’avant-bras en remarquant bien que le rire d

. » Corrige-t-il soit disant son père

nnaissant cette voix qui appartient à cet invité qui se moque d’elle. De suite

ançant un regard noir à celui qui préfère s’amuser à ex

rètement le blond qui croise ses bras contre son torse avec fierté, « évites d’avaler une mouche. » lui conseil la voix ne

onse en se tournant vers son père tandis que le concerné tombe au sol avec les yeux

bauché. » l’informe la mère du duc qui se relève

je suis sûre que si j’étais plus affable avec lui, il aurait tenté plus ! » Justifie alors Pa

du regard et se retiennent de le tordre en dix pour s’être per

as, avec elle c’est pas une agression. » Se contente le grand blond de leur faire ra

se gratter la nuque avec le regard fuyard. Pour autant, Patricia ne comprend pas leur agissement

cuteur, « En plus, si ce n’est pas une agression n alors c’est quoi ? Dis-moi … Un petit encas avant le diner ? un petit

our profiter du suspense avant de lui envoyer la grosse bombe en plein visage. Les parents commencent par s’en méfier et se lève à leurs tours en espérant qu’il ne dévoilera pas si b

arrache d’un geste sec le morceau de colle qu’elle a au visage, tou

retirée puis elle avale sa salive difficilement en pre

prit, sa tête à elle se met à se secouer très lentement d’arrière en avant

résents dans cette pièce qui s’empressent

voix haute pour que le père de Patricia le foudroie du regard en appréciant pas

t sa fille dans ses bras, « Les riveras, reprenez places, moi et Veronica allons l’amener aill

ilencieusement sa fiancé en se demandant si elle fait juste

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