Le secret des templiers

e Thau,

le solstice d’été. Cet événement astronomique connu depuis des temps immémoriaux, lourds de sens est de

Nil. Les Amérindiens pratiquaient, en cette période, la cérémonie de la danse « en regardant le soleil ». Syriens e

Christ dans les eaux du Jourdain et que l’histoire appelle Jean le Baptiste. Durant cette fête, la tradition européenne veut que soient érigés de grand

stices des portes donnant accès aux mystères. Le solstice d’été étan

en lui permettant de rencontrer le mystère, est supplanté par ce qui l’avilit et qui le transforme en un simple individu fait de pulsions. L’éternité, but ultime de la vie, s’est vue remplacée par le calcul économique

de l’imagination fertile d’une humanité en quête de sens. La seule explication logique proviendrait de l’unité de la pensée humaine qui observe universellement des phénomènes naturels similaires. D’autres encore disent que ces coutume

e leurs théories, tous ces faits ne font que valider les tr

et l’infiniment petit sont liés et qu’un sens profond les sous-tend. Ce sens qui nous dépasse et qu’il n’est pas donné à tous de comprendre dans cette vie. Les apparentes différences des célébrations ne traduisent que les particula

poque. C’est par le réenchantement du monde, le retour de la magie et

les respecte encore ? Qui peut être le légata

nt de la société moderne en s’en retirant, quel doi

t originel afin qu’il ne se pervertisse

e monde en sachant qu’une ville su

crutait l’horizon qui s’offrait à lui depuis le toit de sa péniche, sa demeure mouvante au gré de ses aspiratio

expédition qui l’avait mené en Asie du Sud-Est pour protéger un bateau de transport de marchandises contre la piraterie moderne.

ce n’est un intellectuel, au moins une personne cultivée, il était aussi un être de terrain. Il maîtrisait

lusieurs langues… Que n’avait-il pas étudié dans so

iement des armes… Que n’avait-il pas fait, en exerçant ses mains,

ble, et sa vie ne peut que conforter ces qualifica

autres formes d’arts. Néanmoins, il ne signait jamais de son vrai nom, car une seule ambition l’animait et ce n’était pas la gloir

rendre pleinement. S’il acceptait ce type de contrats, ces missions risquées qui mettent sa vie en danger, c’était avant tout pour son besoin d’aventure et une rémunération à la hauteur du danger. Un salaire qui lui permettait de vivre tel qu’il l’avait toujours voulu. Une existence libre tou

ement un homme de cette époque, un individu appa

aye. « Gagner sa vie» est une expression qui lui était insupportable et vide de sens. Il ressentait l

’est extérieur. Pour être clair, je n’ai à racheter ou arracher ma vie des mains d’aucune personne ou d’aucun groupe d’individus. Mon existence est mienne depuis le jour de ma naissance, je suis le seu

u commencement de tout et qui en s’éloignant de sa source avait fini par cristalliser la pensée première en matière. Pour lui, la vision moderne qui fa

re énormément de choses quant à s

onté de certains de vouloir imposer leur vision de la perfection aux autres sans même y tendre eux-mêmes. Pourtant, cela n’en faisait pas un individualiste ou un hédoniste,

. Cette conviction, il l’avait acquise en étudiant les mystères du monde et des hommes, les religions, les civilisations,

mée plus que tout, mais dont les traits du visage ne sont plus vraiment distincts en sa conscience ? L’image s’estompe, mais le sentiment demeure. En ce qui concerne la Vérité, ce sentiment qui persi

dans le cœur de toutes choses, il suffit de s’extirper de cet univers d’illusion pour la découvrir. C’est e

is différents points de vue. Loin du relativisme, pour Michel, le monde et la vie ont un sens e

des siècles où la planète était encore énigmatique et faite de rêves à poursuivre,

t dans sa barbe que caressait une légère brise de vent,

embler qu’il cherchait à fuir l’existence moderne. C’est un peu le cas, mais pour mieux comprendre cette attitude, il faudrait, pour ceux qui le souhaitent, se référer au personnage du passeur de la mythologie égyptienne et grecque. Celui qui fait traverse

ouvant faire penser à une baleine, est peut-être à l’origine d’une légende qui conte qu’en des temps lointains une ville trônait fièrement au sein d’un golfe. Cette cité était celle de Thau et son bassin était le futur étang que nous connaissons aujourd’hui. Neptune, jaloux et irrité de la grandeur ainsi que de

ogiques, il est possible d’entendre sonner au loin les cloches des bâtiments enfouis sous les eaux. Pour retrouver cette Atlantide l

qui peuvent voir avec l’œil de l’esprit. Mais ce n’était pas particulièrement à ca

rres, il semblait que la végétation fuyait au loin vers des horizons inconnus. Le tout était illuminé par les chauds rayons du soleil. Le chant des oiseaux, le bruit d

ces d’une époque plus civilisée qui était fécondée par la tradition et une richesse qui ne se comptait pas avec des chiffres. La colline, qui repose sur les flots, était attaquée par une nuée d’insectes rampants qui creusait et édifiait des repaires en détruisant l

énèbres, ces nouvelles plaies d’Égypte

et qu’il avait tout le temps surnommé, comme beaucoup de monde, l’Écossais. C’était une personne qui avait toujours su le captiver, en lui parlant d’histoi

verses et variées. Il était aussi devenu un expert international e

aient amener à lever le voile sur les mystères entourant la naissance de l’une des hétéries la plus connue au monde. Il ajouta qu’il avait besoin de l’aide, de l’esprit et des réflexions de Michel, dans ce

é se faisait alors jour et prenait de plus en plus de place dans son for intérieur. Tout d

s ensemble, ceci est trop important pour

iscuter, des heures durant, de ses trouvailles et théories, quel que soit le lieu ou bien le moyen de c

ces sujets, car la place qu’ils occupaient dans la vie de ce dernier était grande. Et pour cause, L’Éco

e ? dit soudain une voix qui