L'épouse bafouée du cheikh tome 5 (saga playboy)
se rév
ère ayant aperçu qu'il ne dormait pas avait tenté de l'amadouer, opérant farouchement ses charmes. Bien que l'idée fut tentante, Fadir se redressa complètement. Cette nuit, il avait es
crié comm
ousillé ses tympans, elle a
cha langoureuseme
ment sa couverture, laissant
un peu? Nous pourrions
d'être
tait i
is par
n c'e
. Alaya se redressa subitement alors qu'un
us mérite aucuneme
se f
étrangler. Les rayons de soleil persistaient a s'infiltrer dans la lourde tente sig
e cauchemardesqu
soupire de frustration franchit ses lèvres. Il se leva en tentant d'ignorer la main D'alaya. Le cheikh s'enroula
mauvaise hu
gacer autant? Si ce n'e
ne fois sa journée ? Si ce n'est qu
de s'inq
z l'intelligente.. Se serait courir a sa perte! Ce qui n'était pas dans ses plans, de le contrer. Et pour
s plaies. L'une beaucoup trop écervelée a son goû
rais. Qui aurait cru qu'une femme sans défense, de surcroît une princesse, aurait
lui ferait décerner une médaille. Quittant ce
mil
ses concubines. Nulle autre que sa fav
r. Et toi qu
avait conscience ce qui lui donnait de grande air. Djamila, ayant vue qu'une autre femme occupait la tente du cheikh, n'hésita pas a ré
se débattit com
er en plein désert? se demanda Fadir N
a , ordo
la la
fais-
te dernière se lev
bi
fit-il ave
poule avant de tenter de lui do
e en avançant vers lui, pourquoi ne pas m'avo
agacé. Djamila pouvait d
aya pâlit co
ve autour de son cou. C'est avec mépris que l
mal, dit-ell
Cette maudite Djamila était trop impét
dans ma tente sans en être invité,
rré sa prise. Au lieu de partir, la jeune femme se mit a jasé sur Ismen. Un résu
même de ses noces. Alors que moi, je t'ai toujours obéi dans l
i ferme
Dieu! Il n'y avait pas qu'Ismen qui le mettait en colèr
ça, il n'aurait pas a la supporter, A l'en
, gron
traitant Ismen de tout les noms d'oiseaux. Le cheikh qu'en a lui n'en avait cure! Djamil
Ordonna Fadir dont la voix s
eux pendant quelque seconde. Puis, elle se reprit et o
Fadi
même, gronda t-il au plus g
tit sous s
ïr Ismen. Ce n'était pas cette petite Alaya qu'elle détestait. O non, elle détestait Ismen qui semblait accaparer tout son temps. Elle se ferait un plai
forts pour devenir sa favorite. Cette petite peste venait de gâcher
gâc
t les paupières comme victime d'hallucination, le cheikh l'avait déjà at
ntrer Fadir,
é meurtri par la douleur. Ramassant le peu de dignité qui lui restait, Djamila
s se faire foutre›
ulagement quand il vit son hom
afdi que tu as un
n dossier qu'il s'
sté. Nous avons re
Il avait l'impression de se débarrasser
fi
ttre la main s
ne moi et n'oublie pas de prendre quelque hommes
ssa le cheikh seul. Ce derni
n Is
rer que en paieras le prix. Tu me s