L'épouse bafouée du cheikh tome 5 (saga playboy)
se rév
ccédé de cauchemar en cauchemar. Doucement, elle sauta de son lit de fortune et alla se réfugier dans sa petite salle de bain. Encore, si on pouvait appeler cela une salle bain.
accr
u et attendit que la baignoire se remplisse complètement Elle aurait tant aimé bénéficier de ces bains qui lui plaisaient tant. Ceux
erma le
'embellir. Elle avait non seulement peur que le tuyau puisse être coupé. Et là, sa s
le savon pour se savonner seule. Heureusement, qu'elle avait apprit a se baigner seule bien que sa mère n'aimait pas le fait qu'elle puisse se débrouiller car dis
parfait a la seule exception que ce matin, ces tourments l'avaient pris d'assaut. En vérité, Elle mourait de peu
bile. Comme si cela ne suffisait pas Aman l'avait appelé pour lui dire que son passeport serait prêt que dans deux jour
ndre des informations croustillantes sur so
ans passeport. et ce diable d'Aman avait conscie
herche. Il lui faudra bien peu temps pour qu'il la retrouve. Or
ule parce qu' Aria, la femme du boulanger qui se chargerait de lui rapporter de quoi se nourrir a e
Elle soupira longuement avant de se lever du baignoire. Encore une fois, elle risquait le pire et chaque heure passé dans le même village la rapprocherait plus de son mari. Ismen se retrouva prise
ec. Ses doigts tremblaient frénétiquement . Sa respir
dir la r
n'avait cesse d
prit son sèche cheveux. Elle sortit de la salle bain lugubre et atterri dans sa chambre pour s'y installer devant sa coiffeuse. Au début, elle
a se coiffer seule
rendait pas heureuse. Les affres de la fatigue se fit rema
ent maigri. Elle n'avait
Elle était
rosses gouttes de larme perlaient sur sa joue déjà humide. Elle eu d'énorme
s de
tait la se
aison elle. D'un revers de main, elle essuya les larmes qui tapissait sur son visage et se fit un maquillage. Quelque bonne c
de se v
ue jupe a fleur et d'une chemise p
egardant dans le miroir. Personne ne l
ol d'air frais. Elle traversa la rue et entra
la bouche. Son ventre émit des gargouilles a ne plus en finir. I
vendeur quand celui-
ui d'ailleurs n'était pas plus gra
bandit se cachait dans le petit marché d'Erabah
es fruits . Elle faillit failli percuter une étagère comportant de
s, s'écria t-il alors qu'Ismen tent
nt leur marchandise sans oublier les acheteurs qui se pressait. Elle fut prise par les surxecitations des enfants qui hurlaient, cou
devant une étrangère qui contentait des vêtements, de la soie. Ebahis, elle toucha les
d ga
u un s
i lui allait comme un gant puisqu'il n'était pas seulement une boutique. c'était une taverne po
ne femme pénétrait dans ce genre d'endroit, sa réputation s'il en re
je voi
tête au pied puis le ga
iez rend
avait rendez vous ? Elle avait dû mal en
dit-
s la pièce sombre et lugubre. Une pièce qui pourrait foutre a n'importe qui des sueurs froides. Et elle en avait des sueurs froides. Prenant son courage, ell
uand on l'annonça, i
dégl
e le toisa affichant un
ue me vaux c
. Inutile de se tisser des liens avec
froid la traversa
je suis là, commença
s et j'ai
bon
es ses tiroirs. Il prit un car
t bon. Donnez
er après m'avoir d
u n'auras pas
se liq
s'était doutée que quel
en lui. Cet idiot essayera
envoyant le collier
a main sur le collier quand Ismen le stoppa. Fermement, E
encore. je me rendrais au cheikh et surtou
man semblait
a sa main dégouté a l'idée même de le t
et tu auras ton passeport
deux
our s'en fuir d'ici. Et si Fadir l