Le Milliardaire Déchu
dure réalité de ma situation m'écraser. À 28 ans, je me retrouvais sans domicile, errant dans les rues de Paris, essayant simplement de survivre au jo
deurs de nourriture bon marché et de désinfectant. Les dortoirs étaient bondés, des lits superposés occupant chaque centimètre d'espace. Les
y retrouvai Sophie, une autre résidente avec qui j'avais tissé des liens d'amitié. Sophie était plus âgée que moi, avec une vi
me voyant entrer. "Viens
mais la chaleur qu'il procurait était réconfortante. Sophie et moi avions rapidement trouvé du réconfort l'u
gard scrutateur posant des questions silencieuses
avec un léger sourire. "Essayant
"C'est tout ce qu'on peut faire, n'
des autres femmes, de petits éclats de rire occasionnels, et du bruit de la radio qui diffusait des nouvell
e femme d'une trentaine d'années entra en trombe, visiblement agitée. C'était Claire, un
e, les yeux brillants d'inquiétude. "
dans ma tête, menaçant de me faire perdre l'équilibre. Fermer le re
on et se tourna vers Claire. "Qu'est-ce q
yeux. "Ils disent qu'ils n'ont plus assez de financement pour continu
e la rue. Sans lui, nous serions à nouveau livrées à nous-mêmes, vulnérables et exposée
nt ma main dans la sienne. "On trouvera une solutio
La fermeture du refuge était une menace bien réelle, et nous devions trouver un moye
. "Il doit y avoir quelque chose qu'on peut faire pou
voir le directeur. Peut-être qu'il pou
iers. Monsieur Bernard, le directeur du refuge, était un homme d'une cinquantaine d'années, tou
avec un sourire fatigué. "Qu
, "nous avons entendu dire que le r
Les financements ont été coupés, et nous n'avons pas assez de ressources pour continuer à fonctionner.
e chose que nous pouvons faire," dis-je avec ferveur. "Des
rs. Les dons ont diminué, et nous ne recevons plus de subventions. Nous faisons de notre mieux,
ons réellement au bord du précipice. "Que va-t-il se passer pour n
es, mais je ne peux rien garantir," répondit-il avec tristesse. "Je suis désolé,
ns la salle commune, où les autres résidentes attendaient anxieusement. Claire les
a dit ?" demanda Claire,
répondit Sophie. "Le refuge va fermer.
es allaient aller et comment elles allaient survivre. Je sentais l'urgence de la situation, mais aus
ter unies et trouver des solutions. Peut-être qu'il y a des moyens de lever des fonds ou
nous battre pour ce refuge, pour notre maison. Nous allons organiser une réunion ce
r et à agir. Nous avions un défi immense devant nous, mais je sentais une flamme de détermination
êlée de peur. Sophie et moi prîmes la parole, partageant des idées et des plans pour lever des fonds et attirer l'attention sur notre situat
eune femme nommée Léa. "Si nous pouvons faire du bruit en ligne
dès le lendemain. Chacune de nous prit des responsabilités, que ce soit pour contacter des
s ne laisserons pas ce refuge fermer sans faire tout ce
et nous avons survécu.
an, et nous étions prêtes à nous battre pour notre avenir. La nuit était tombée, enveloppant le refuge d'une obscurité apaisante. Mais au-delà des m
e des événements de la journée, Sophie vint me voir. Elle s'assit à côté
'hui, Mia," dit-elle doucement. "Tu as d
devons rester unies, Sophi
te. "Et nous le
nouveau jour, avec de nouveaux défis, mais aussi de nouvelles opportunités. Nous ne pouvions p
vais que le chemin serait long et ardu, mais pour la première fois depuis longtemps, je sentais une lueu
ts n'étaient pas suffisants ? Et si, malgré tout ce que nous faisions, le refuge devait fermer ? C