L'Héritier et l'Orpheline
résoudre les problèmes au bureau, laissait Jeannette gérer seule le quotidien familial. Anne ressentait de plus en plus la pr
elle s'assurait que ses frères et sœurs soient prêts pour l'école, aidait Jeannette à la maison et trouvait
r. Ses pensées étaient ailleurs, préoccupées par les attentes de ses parents et le poids de ses propres ambitions. Elle
une tasse de thé. « Tu travailles encore,
ire. « Je vais bien, maman. Juste q
sais que les choses sont difficiles en ce moment. Ton père et moi som
r les paroles de sa mère. « Me
mis à l'école. Julie, sa meilleure
trôle de physique ? » demanda Ju
. Avec tout ce qui se passe à la ma
e comprends. Mais tu es forte, Anne. Si
elle pouvait compter sur le soutien de ses amis. Ensemble, elles se diri
in de football, espérant un jour devenir un joueur professionnel. Ses entraîneurs louaient son talent et sa détermina
match intense, Yann rejo
e de devenir pro un jour ? » demanda
nn. Tu es incroyablement doué. Mais souviens-toi
if. « Oui, mais je veux
assurance. « Mais ne laisse pas cette
nt des heures à dessiner des paysages et des portraits. Ses rêves de devenir artiste se faisaient de plus en pl
nier dessin à ses parents. « Regardez ce que j'ai fait a
urit. « C'est magnifique, ma c
le dessin avec attention. « Tu devrais envisager des cours d'art,
r. « Merci papa. J'ai
algré les tensions et les défis, ils restaient unis et se soutenaien
ucis du quotidien. Ils décidèrent de passer la journée à la campagne, profitant du grand air et d
et commencèrent à savourer leur repas. Les rires et les conversations
demanda Bertrand en mordant dans un sandwich. «
Iris avait insisté pour décorer
forts que j'aie jamais vus,
eaux et le murmure de l'eau créaient une symphonie naturelle apaisante. Bertrand et Jeannette
u formait une petite cascade. Yann, toujours prêt po
nn, » avertit Anne,
Anne les suivit, veillant à ce qu'ils ne se mettent pas en danger. Ils passèrent u
iment renouvelé de force et de connexion. Ces moments de bonheur si
étudier, parfois tard dans la nuit. Ses résultats scolaires étaient excellents, mais elle ressentait une fa
tard. Tu devrai
cernes marquant son visage. « Je doi
rends que tu veuilles bien faire, mais ta santé
« Tu as raison. Je suis juste inqu
u ne le penses, Anne. Nous sommes tous fiers de
es couvertures. Anne savait qu'elle devait trouver un équilibre entre se
din. Ils décorèrent l'endroit avec des guirlandes lumineuses et des lanternes colorées. Bert
lgré ses préoccupations, se laissait emporter par la joie ambiante. C'était une pause bienvenu
maman, » dit Anne en serrant Je
r. « Je voulais juste que nous passions un bon
té. Un appel téléphonique tard dans la soirée annonça que l'oncle de Bertrand, Henri, était gravement
voir Henri, » annonça Bertrand d'
s Duval. Bertrand se prépara pour ce voyage inattendu, sachant que son absence p