PDG : Tu es à Moi
cuir moelleux. La soirée était censée être calme, juste nous deux, sans la moindre distraction. Gabriel avait cuisiné pour nous, et nous avions s
mença Gabriel, ses yeux bleus rivés sur les miens. Je pouva
e doucement, posant ma main sur la s
e. « Mon passé n'est pas aussi simple que tu pourrais le croire. J
continuer. Gabriel baissa les yeux sur sa coupe de
tait un homme dur, froid et distant. Il attendait de moi la perfection
ntendant ces mots. Je ne pouvais qu'imaginer la
mon père. Elle vivait dans la peur constante de le décevoir. Quand j'étais adolescent,
égèrement. Je pressai doucement sa mai
re et de ses attentes. J'ai quitté la maison et j'ai décidé de faire ma propre vie. J'ai con
Gabriel, cet homme fort et distant, dévoilait en
u as traversé, » dis-je doucement. « Mais tu
açait de couler sur sa joue. « Merci, Isabelle. Ta prés
ion du moment. Je pouvais sentir notre connexion se
mon attention. Je me retournai légèrement et aperçus une silhouette familière à travers la fenêtre du salo
ssayant de ne pas paniquer.
cirent en reconnaissant la silhouette. « Cla
par l'intensité de sa réa
. « Mon ex-fiancée. Elle n'est pas
'inquiétude m'envahir
ie à nouveau, » répondit-il, son ton froid
sortit. Je le suivis de près, ne voulant pas le laisser seul face
xe, un sourire narquois sur les lèvres. Elle portait une robe rouge qui mettait en valeu
e voix mielleuse. « Quelle
is-tu ici ? » dema
feinte. « Je passais dans le coin et j'ai pen
traits durcis par la colère. «
beaucoup à discuter. » Elle tourna alors son regard vers moi, me dévis
yant de maintenir mon calme. «
yeux. « Une amie, hein ? Intéressant. Gabriel, tu ne
poings toujours serrés. « Ça
sté. « Oh, mais ça me regarde, Gabriel. Tu sais
, et je décidai d'intervenir. « Gabri
arrière. « Oui, tu as raison. Clarisse, je te demand
rès bien, Gabriel. Mais ne pense pas que je vais disparaître s
ure. Gabriel et moi restâmes là, regardant la voitur
se tourna vers moi. « Je suis d
ment. « Ce n'est pas ta faute, Gabrie
La présence de Clarisse était une menace que nous ne pouvions ign
e avait derrière la tête. Son attitude laissait présager des ennuis, et je savais q
assé, de Clarisse et des démons qu'il devait encore affronter. Malgré la
, Gabriel se tourna vers moi, ses yeux remplis de détermination. « Isabelle, je ne veux
aration. « Et moi aussi, Gabriel.
hes. La présence de Clarisse dans nos vies n'allait pas rendre l
ur ma musique. Mais je ne pouvais m'empêcher de penser à Clarisse, à ce qu'elle préparait. Une confrontation semblait in
e mis à rude épreuve. Et pourtant, malgré les obstacles qui se dressaient
que nous devions rester vigilants. L'ombre de Clarisse planait sur