Fiançaille fictive
ureau, lui lançant des questions rapides sur ses entreprises et il fut stupéfait par la quantité de connaissances que la femme pouvait citer de mémoire, mais elle
ton petit-ami?" il
e réalisa ce qu'il avait fait, le reg
l'air si adorable, assise là, à le regarder comme si elle avait le droit de le répr
uis décida que ce serait une bonne idée. Elle était la candidate idéale. Elle était intelligente, belle et capable de se débrouiller sous pression. Et en plus, il l'aimait bien. Il pensait s
il avec arrogance et se leva,
t pas vraiment à part ses yeux qui le suivirent. Honnêtement, elle ne savait pas si ses yeux tiraient des poignards dans son dos bien musclé ou s
Alors je t'emmène déjeuner. Prends ton sac à main
n'était pas seulement son patron mais, littéralement, le patron de tout le monde, elle sortit de son bureau, les mains serrées sur les côtés pour ne pas pouvoir attraper quelque c
rester à côté de lui, attendant comme un serviteur pathétique que l'homme soit prêt à partir. Elle avait travaillé dur ces trois derniers jours, n'était rentrée chez elle qu'hier soir pour se doucher et se changer, et en y repensant, c'était ce matin et non la nuit dernière, donc elle était fatiguée, irritée, avait un beaucoup de travail à rat
donc ce n'était pas comme s'il devait la chercher durement. Mais il se tenait devant la porte de son bureau, re
lle vivement, ignorant le rega
on pour laquelle il avait besoin d'elle et il réprima son irritation. « Prêt », répondit-il aussi poliment que son caractère le lui permettait. Il
mme ça, juste pour voir quel genre d'explosion se produisait ensuite. En fai
noire juste devant les portes du bâtiment, de s'écarter et a ignoré le garde du corps qui se tenait à plusieurs mètres en arrière. Comme elle était un peu plus lente qu'il n
corps y réagit instantanément. Il n'avait jamais eu une réaction aussi forte et instantanée enve
ne parvenait même pas à reprendre son souffle. "Qu'est-ce q
andé. "Si tu veux marcher aussi vite, tu dois m
es auparavant. Eh bien, ce n'était pas tout à fait vrai. Il pensait que certaines de leurs tentatives
verts. "Je m'excuse. Je ne suis pas habitué à quelqu'un de beaucoup plus petit que moi », a-t-il immédia
Toucher son bras ? Est-ce qu'il plaisantait ? Plus de la moitié de so
t plus très bien ignorer son bras. Elle devait se comporter comme une dame et lui prendre le bras poliment. El