PARDONNER L'IMPARDONNABLE : UN AMOUR QUI DÉFIE LES LIMITES
estomac tandis que mon cœur se serre. J'ai de plus en plus de mal à croire que j'obtiendrai un jour sur elle . Même lorsque je ne pense pas activement à elle, je pense toujours à
demande, Rhys hausse les épaules e
vacances, » marmonne Rhys. Mes lèvres se rétrécissent et je hoche la tête, ne sachant pas trop quoi dire. Mon esprit est toujours aux prises avec l'abandon qu
ésolé d'avoir été si absent à CGC. La tê
aire, alors sors de là vite », grogne-t-il. Un rire sympathique m'échappe et je ressens pour lui, c'est vrai. Il a été un sport formi
ière tandis que Riley entre dans le salon avec rien d'autre qu'un petit débardeur et des sous-vêtements roses effrontés. Les yeux de Rhys s'écarquillent et une petite goutte de sueur se forme sur son front. Il est clairement gêné que sa copine se promène pratiquement nue devant moi. Cela
es crêtes de ses côtes à travers son débardeur moulant. Son ventre, et même ses joues, semblent particulièrement creux. Je prends note mentalement d'en parler à Rhys lorsque nous serons seuls. Riley attrape une capsule de bière su
tourner. Avant de fermer la porte de l'appartement derrière moi, j'entends Riley dire : « Oui !
commence à retirer mes vêtements alors que je me dirige vers la chambre. Je suis trop excité pour dormir, alors je décide d'enfiler mes vêtements d'entraînement et d
se dressent. Je baisse le tapis roulant pour une marche rapide. Je n'ai pas besoin de regarder pour savoir que c'est
u travail, Elissa. Même chose
aît sur son visage. Mon visage s'échauffe et mon rythme cardiaque s'accélère à son insinuation. Elle marche sur le tapis roulant à côté du mien et l'air s'épaissit ; la tension rayonne entre nous. Nos yeux se croisent
iode de récupération. En restant concentré sur les presses et ma forme, je ne réalise pas qu'elle est venue vers moi jusqu'à ce qu'elle se matéria
ar, suivant mon mouvement. Je gonfle ma poitrine et mes joues simultanément tout
e. En général, elle flirtait un peu plus ou roucoulait mon nom, essayant de me séduire à chaque occasion. Je l'
n droit. J'acquiesce et remets la barre dans sa position de repos. Je m'assois et elle fait le tour
ape ma serviette et essuie un peu de sueur sur mon front avant de me lever. Nous sommes à quelques millimètres l'un de l'autre. Elle a to
et doux torse contre ma clavicule. Ses lèvres descendent lentement vers les miennes, comme si elle me donnait un moment pour arrêter ça, mais pour le moment, je ne réfléchis pas clairement. Pour la première fois, je réalise que je me bats pour ne pas devenir dur pour quelqu'un qui n'est pas elle. Pour
ue trouve la sienne. Ses mains glissent le long de mon torse, elle resserre sa prise autour du bas de ma chemise e
dis-je en cher