La vengeance d’Aelis
pe. Je ravale tant bien que mal la b
te bourrée.
rrible ne
du
ai simplem
st
ssent et disparaissent de mon esprit. Des traits vagues, des images de fête fora
Je remarque Jolena qui chuchote avec d'autres copines de l'é
st-ce que
s valsent dans ma tête jusqu'à ce que je me s
suivi un homme aux cheveux gras et clairsemés, avec une barbe broussailleuse et un nez rouge et bulbeux. Il lui avait mis de l'argent dans la main et ils étaient partis en titubant pour disparaître dans cette toute petite habitation en métal, pendant que je m'élançais vers les manèges, tout particulièrement vers le Zipper. « Le manège le plus grisant de
mère à genoux devant l'homme. Son pantalon tombait à ses chevilles et elle tenait ses parties intimes entre ses mains. Elle m'avait jeté un bref reg
aie
la caravane et j'avais couru, couru... Il m'avait poursuivi bien après le Z
vu ma mère pen
en dans ta tête et quelque chose ne va pas dans ton corps, arrête
froid me donne juste la chair de poule. Je me frotte la poitrine, les yeux plissés pour essayer de discerner quelque chose dans l'obscurité. Ma chemise est remontée jusqu'à ma gorge, exposant mon
s savoir comment j
rive même à rire à moitié, comme si je m'attendais à trouver
savait, mais que mon cerveau n'avait pas encore saisi. Ma jupe
ussi par les nonnes. Sombrement, je réalise que les feuil
es sens sur mon corps, comme si le bout d
de quoi il s'agit comment a
es. Je me touche à cet endroit et gémis à cause de la douleur provoquée par la peau enflée. Mon cœur
s-je, avant de vomir d
t, l'alco
sont-ils réels? - qui s
lena était avec moi ? Non. Je secoue la tête tandis que l'image de quelqu'un d'autre
et m'a dit qu'il avait q
ivi, pour je ne sa
ouche l
brassée v
cheveux et m'a
eau bien aiguisé. Je ne me rappelle pas des détails, ça reste flou dans l'ensemble, mais je s
fais pas confiance, Aelis. Tu es peut-être pom-pom gir
te être assez proche p
vivre dan
il, mai
l'herbe, me débattant durant une seconde avec ce qui s'est passé, puis pleura
ie de me relever, mais je me l
erve la lune tandis qu'elle se dépla
peu plus de temps,
le
le
esoin de moi
cou, parcourant la chaîne de piètre qualité. Il est si petit, et s
ai jamais l
mal jusqu'à la clairière. Au-delà se trouve le chemin cabossé et, e
l'obscurité, le véhicule vient dans ma direction. Une brève euphorie m
c'étai
envahit et mes muscles me font souffrir le mar
usqu'à de
rs confuses, mais c'est
ouée pour
toujou
eugle et ma tête se balance fréné
cours,
nce, une portière de voiture se
ache le visage, honteuse d'êtr
ête en clignant des yeux. Je ne distingue pas son visage, aveuglée par l
e sou-lèvent. Je gigote dans tous les sens, essaie de me
lutter tandis qu'il me dépose dans sa voiture et me met la ceinture de sécurité. Il parle, peut-être pron
ure accélère de plus en plus. Ma tête tombe sur
tête se tourne et son regard d'acier rencontre le mien. Je crois que je vois de la colère et juste quand je pense le reco