La vengeance d’Aelis
ns ma poitrine tandis que mes iris fouillent l'obscurité. Le fond de l'air est froid,
uis-
, un chemin étroit avec de profondes ornières que l'on peut d'ailleurs à peine qualifier de route.
oit belle ou laide, lisse ou rugueuse, pavée ou criblée de
a dit ça une fois, mais je ne me
tête comme si on m'avait
tente de me concentrer, essayant de fai
uis-
ai émis ce son étrange. Je me fige puis prends une grande inspiration, sifflant sous l'effort que me demande le simple fait de m'assoir.
nt pis, je r
rche de réponses. La lune est pleine et lumineuse. Elle éclaire les pins qui me dominent, les branc
Grimm, où une jeune fille s'aventure dans une forêt enchantée afin d'y cueill
me les
es r
nchantés, mais je suis c
uis-je ar
n feu de camp rougeoyant à quelques mètres de
mon esprit, moi, près du fe
nd un autre souvenir refait
core p
rl rouge et blanche. Non, j'ai eu le temps de me changer et d'enfiler une minijupe et un nouveau haut bleu avec un décolle
? Qu'est-ce que je
t mon crâne. Je grimace, déglutissant com
tre sur cett
À un moment donné, cette clairière était entourée de gens, de musique et de voitures. Des mecs encore en maillots de foot, certains en jeans ave
sert, à
s mon ventre. J'ignore comment mon cerveau embrouillé sait qu'un poison circul