Le Secret de la mafia fœtaux
jambes m'ont ramené dans les escaliers, je n'ai pas pu m'empêcher de marcher rapidement jusqu'à la pièce. Mes mains
taient encore collées sur la porte, ce qui était intense pour des raisons pour lesquelles elles ne devraient pas l'être. Et s
t remplie de lui, il n'y a aucune possi
e me sont revenus en morceaux, un gémissement a pratiquement quitté mes lèvres. Je me suis levé avec un besoin désespéré de caféine, j'ai enfilé une robe rose que j'ai trouvé
e, elle était remplie à ras bord et il y avait du lait assis juste à côté. Il ne faisait pas trop chaud, juste la température parfait
s qu'il n'y avait personne autour. Le son des gémissements venait de l'autre pièce, mon cerve
ir, il était complètement torse nu avec un short noir. Il claquait son poing à plusieurs reprises contre le sac de boxe sans protection sur ses
tombés sur l'ange sur son dos avec un nom écrit d'une écriture délicate juste en dessous.
it, mon corps s'est figé comme si j'étais un
t très distraite. J'espérais qu'il penserait que c'était la
suivaient une goutte qui coulait le long de sa poitrine, qui savait que l'exercice était si chaud ? J'ai a
afé. »Dit – il avec un sourire
ser la tête, mes mains n'osaient pas bouger alors qu'il enfermait ses lèvres autour de la tasse en prenant une gor
grac
l a demandé, il n'y a aucun moy
as si bien. »J'ai dit que ça deven
coup d'œi
. Son bras avait des tatouages éparpillés partout, « Je t'aime plus profondément que les océans et les cieux » était écrit en petites lettres, à mon avis, c'était un beau dicton. Le reste de ses ta
st le lys ?
l en expirant contre mes joues. « L
jumeau. Clairement, il aime be
demi-l
nuit de la naissance de ma mère. »Ses
e qui a attiré mon attention plus tôt. Mes doigts hésitèrent mais pressèrent doucement contre sa peau moite, ils tracèrent l'ange et le nom ci-desso
»J'ai demandé, m
mur froid avec ses abdominaux pressés contre ma poitrine. Sa poitrine se soulevait de haut en bas avec de la sueur dégoulinant de ses cheveux, mes yeux fixaie
n cou jusqu'à ma poitrine couverte de café. Ses bras m'enfermaient et ses biceps fléchissaient pratiquement de
. »Il marmonna
très im
oté en regardant entre nous, mes
ce que je ne pouvais pas penser en ce mom
e et haletante, cela m'a fait fermer sec
ouche planait à quelques centimètres de ma peau brûlante. Il baissa la tête très lentement le long de ma poitrine où reposait le café, mon corps
e mur. Ses lèvres étaient bizarres contre ma poitrine, c'était comme une bonne sensation et je la sentais surt
longs baisers, un gémissement a grondé du fond de ma g
ontre ma peau, mon corps a immédiatement réagi
en ce moment. Je pense qu'on était tous les deux confus l'un avec l'autre, et la seule façon de gérer ça était de se regarder dan