Deux couples torrides, une nuit érotique
t sur la chaise longue en bois dans son jardin. Ses sandales étaient enlevées, s
es bretelles. Elle avait réfléchi très attentivement à sa tenue, et l'avait fait pendant des jours en prévision de ce moment, et en conséquence, elle se sentait très perverse, s
ès fréquentée au-delà. Elle écouta nerveusement et ressentit un petit picotement d'appréhension, sa poitrine cognant lorsque la porte-fenêtre d'à côté s'ouvrit, suivie de près par les pas tranquilles de Josie, leur voisine souriante et
le vraimen
scène osée dans son livre coquin préféré, une idée qui l'avait chatouillée dans des endroits qu'elle croyait en somm
ne profonde
e mettre réellement à exécution son plan, elle commençait à se sentir idiote et quelque peu nerveuse. Si elle ne le faisait
ins à plat sur son ventre et écartant ses doigts, avant de regarder autour d'elle tout en traçant légèrement le contour
jà sur la
qu'elle tenait maintenant dans ses paumes, mais la graine avait été plantée dans une partie totalement refoulée et honteuse de son esprit, et là elle avait fleuri .
Elizabeth et sa meilleure amie, Lady Victoria. Et c'était ainsi vilain . Elle l'avait lu tellement de fois maintenant qu'il ne pouvai
exy, do
acontant souvent un peu dans sa barbe pendant les moments calmes de son service alors qu'elle essayait de ne
rale
'idée du livre qui l'avait
e qu'elle prévoyait de
artie la plu
r ainsi dire - et elle rentrait souvent à la maison, se faufilait dans leur chambre et passait un petit moment sensuel seule , et cette s
as tout, pas si e
nt sur leur jardin pourrait, peut-être, juste un petit peu... jeter un coup d'œil depuis une fenêt
nsa-t-elle en f
icipante consentante à un acte de voyeurisme qui l'avait tellement enflammée
la peur et la culpabili
oyablement étourdie et
trouvée à nouveau comme une jeune fille, découvrant son corps pour la première fois. Elle ne s'était jamais touchée au-delà
e respi
nt elle commença à lire, sa respiration déjà inégale
tilisé les ci
t battait le vieux bâtiment en pierre, tandis que sur la chaise longue en face de lui, blottis sous une épaisse couverture, se trouvaient
faire, souf
s sous la ceinture de sa jupe et dans sa culotte, et prit une inspirat
min
igt, ses mouvements réguliers et subtils, tandis que ses yeux se leva
, puis déplaçait très délicatement sa main vers la cuisse nue de son amie. Elle ferma les yeux, imagina
ée au contact de son amie, et après une douce exploration, elle dénouait lentement les co
s à l'intérieur et cambrant la tête en arri
w
es doigts d'Elizabeth remontant la cuisse de Victoria, trouvant le bord de ses sous-vêtements et se glissant à l'intérieur. Elle vit dans son esprit le
es fesses et laissa échapper un léger gémissement involontaire, pui
p s
à tout rompre d
oulevaient et la manipulaient comme une poupée, la plaçant contre le haut rebord de la chaise longue, so
avec elle-même, et cette pensée la fit s'accélérer. Elle se sentit commencer à jouir, ses yeux s'ouvrirent et regardèrent autour d'elle avec anxiété tandis que sa bouche l
e ses cuisses. Puis, à sa grande surprise, elle ressentit une soudaine poussée d'excitation alors qu'elle l'imaginait dans la pièce avec eux, la voyant penc
s que tout son corps tremblait, puis sa colonne vertébrale se cambra et sa bouche s'ouvrit et elle commença
ré tôt, mais il était trop tard : elle
désespérément d'étouffer le gémissement s'échappant de ses lèvres, la bouche grande o