Les contraintes s'attirent
repose ma tête contre le mur, sachant qu'à n'importe quel moment mon appartement sera fouillé, passé au crible pour détecter tout signe de nous deux. Ils
asers. Même dans le noir du petit cabinet dans lequel nous som
as
e pour le regarder, les yeux bloqués. Je pense à
i ? je
il prend une gr
que mon maquillage bave autour de mes yeux et que mes cheveux châtain sont
Ro
jusqu'aux siens pour qu'i
lque chose. Sa voix est basse et
la tête l
Il respire, passant une main dans ses cheveux. - J
sourcils. - Qu
je veux que tu m'oublies. Il n'y a ri
ête. - Je...Je
entre nous doit le faire, je veux que ce soit toi,
Non, dis-je. - Je n
te. - Tu dois partir d'ici et ne jamais reve
choire tendue. Je prends une grande inspiration. - Si quelque c
ésespérément. Un muscle palpite dans sa mâchoire et sa res
sol. Il me terrifie, à penser qu'il ne passera
voudrait, dit-il après quelques minutes de
de cette façon, dis-je
as, il y a un millier
ujours été ; moi l'opti
tu le fais et que je ne le
emontent j
e souhaite que ça soi
chaudes remplissent mes yeux
comme ça, dis-je, s
rté par mon ton du
e dis, il recom
e veux que tu arrêtes de le dire ! Ma v
la peau douce de la mienne. Il frotte son pouce sur le dos de ma main, dou
il. - Promets-moi juste que tu r
Rose, prie t-il.
Si c'est ce qu'il a besoin d'enten
e, plai
ster cachée,
ndre, un féroce son se fait entendre. La porte à
s plu
n canapé, regardant f
ux rivés sur mon foutu portable silencieux depuis trente minutes. Je suis dans mon nouvel appa
l est six heures et demie. Ils n'étai
ais déballer mes affaires pour
je fais des pieds et des mains pour l'atteindre. Je saute pratiquement sur le canapé, faisant tomber
, en essayant de par
ght ? C'est Marion Johns
un battement.
t très bien passé et vous avez donc obtenu le poste. Félicitations. La voi
d'en fair
ssis-je à dire sans s
ureau et où vous rencontrerez votre patron, Mr Greem
ela, elle
sauter en l'air, faisant la danse de la victoire. C'est le travail dont j'a
mon téléphone et comp
le combiné. - Je l'a
er. - Rose, chérie,
me instan
poste. Le travail dont je
it-il. - Mais je dois vraiment t
bien, t
. On se voit ce soir, qu'
ait son chemin sur
rendez-vo
s les cartons dans cet appartement.
ncontrés quand je visitais Portland à New York. Je l'ai tout de suite apprécié et
x pas de ne pas avoir beaucoup de temps pour moi. Son travail est très important et ça lui pren
eux sacs d'épicerie débordants dans les bras après un voyage très fruc
de nerfs toute la journée, me souciant de l'impression que j'allais fair
r ce travail. J'ai eu ce travail à l'esprit durant toutes mes
s là-bas. J'ai toujours été du genre à avoir beaucoup d'amis, j'aime avoir beauc
ourdis à cause de mes lourds sacs. Je lutte avec mes c
ramasser quand une main s'étend et les prend avant que je ne le puisse.
omber ceci, dit-
is-je. C'e
i, dit-il. J
Ro
ant un signe de tête, m
is une pause. - Tu vis au
te. - Non, mais j'ai un
je en hoch
ne soirée, dit-il en me
i au
che vers l'appartem
-je en fronçan
rne et me reg
avec Harry ?
ation de la tête. - Ouaip,
ment, dis-je
donné du fi
vraiment grossier. Je remets e
si légèrement. Je me demande si Harry a été aussi rude avec
s'ouvre et il sort. Il porte un T-shirt bla
Il s'en prend à Liam puis me reg
à Rose pour ses clés, répond Liam, pas du
i, grogne Harry. - On
agréable de te rencontrer, Rose
er roule des yeux lors de nos échanges amicaux et cla
sièreté. Comment peut-il avoir un ami com
ar le comportement d'Harry. Que lui ai-je f