Enlevée Par Un Mafioso Millionnaire
3 : L'enfer br
ment, je commence à frôler l'inconscience pour finalement dériver dans l'obscurité profonde. La derniè
.
pas de crier à tue-tête. Il a tout juste réussi à entrer dans une salle de bains, et pas n'importe laquelle, ici c'est le luxe partout. Il n'y a plus aucune trace
eil forcé m'ont surprise. La seule chose dont j'ai conscie
raignant de tomber en hypothermie, bien qu'à ce st
e droit, entre dans la baignoi
ucher seule, s
'est ce que
éponge sur ma peau, mais il me tripote effrontément. Il profite de la situation et, de peur d'être battue, je me résigne. J
ici ne sera pas si pénible", dit-il.
doute, il me fera du mal de toute
uer, mon corps frissonne à cause de la basse température. Je respir
rque que j'ai du mal à bouger. Je t'emmène dan
st pas habituellement le lieu d'un enlèvement. Tout y est lumineux, moderne et élégant. C'est une alcôve qui respire la fierté dans
cher, j'ai soif, j'ai faim..... Tu vois bien que je
r à manger, vas-
la luxueuse pièce est hostile, une cible malveillante qui me désigne. Il y a une énorme télévision plasma noire, un divan au pied du lit aussi blanc que le canapé posé près
couette, il se passera beaucoup de choses qui me marqueront, se faire à l'idée maintenant ne rendra pas la douleur m
nt déjà à ma recherche, peut-être que papa ou maman me croient mort. C'est exaspérant de ne pas trouver d'issue, rien ne me vient à l'esprit. Mes instincts
veux su
clac,
la chaleur, ce n'est pas suffisant. Aleksander m'habille d'une chemise de nuit blanche, rien d'autre. Je ne réclame pas de sous-vêtements, il es
s je perds le fil, les sens, je m'é
3 : L'enfer br
n pansement, je halète en tournant la tête sur le côté. Tout l'oxygène est aspiré de mes poumons quand je to
mouille mes lèvres me redonne du souffle et la première gorgée me ramène à la vie. Le médecin t'a ausculté
ain. Sa couleur est d'un rouge profond, je n'ai aucune idée de ce qu'il y
à faire, explique-t-il en s'éloignant san
iculier irrésistible. Je soupire en allant chercher la cinquième cuillère, décidant de goûter le pain et de l'altern
es énormes quatre murs ? J'aimerais pouvoir arrêter le cours, j'aimerais pouvoir m'enfuir. Mes yeux s'ancrent sur la poignée de la porte, la
surprendre, ça fait quand même mal, ça me rend impu
m'aident pas, ne tissent que des hypothèses, des fausses alertes. J'essaie sérieusement de donner un sens à mon enlèvement, mais je ne trouve aucun lien entre la mafia russe et ma
causes, quelque chose qui renvoie à la raison. Et s'il n'y a pa
tir, pire encore elle apparaît avec plus d'intensité, et je fais s
un homme, ce n'est pas le loup. À ma grande surprise, il s'agit d'une petite femme, jeune, à l
me donne confiance, alors je me sens encouragée à engager
ant. Elle sourit à peine et je me demande si elle a comp
ceci à la place de ma partenaire, e
njo
ation, je suis très occupée et il m'
aider à sortir, je suis innocente, je n'ai rien fait de m
ige vers l'armoire et remet à sa place ce qu'elle a rapporté. Mon cœur bat à tout rompr
son travail, et encore moins de mettre sa vie en danger en aidant un
c pitié, elle est attachée, sans opt
le vois en toi, murmure-
te demande seulement de la discrétion et d'obéir, le jeune Konstantinov n'es
ntes, Aleksander est
mariage de mon père avec Amber, la femme qui s'est occupée de moi avec amour d'aussi loin que je me souvie
a porté dans son ventre pendant neuf mois, mais papa a ravivé son souv
sein des personnes qui pourraient me faire du mal. Tant de pourquoi et de comment forment un méli-mélo dans mon cerveau. Il n'est pas absurde d
n point d'in