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La nuit où les loups-garous ont combattu des zombies

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1321    |    Mis à jour : 07/03/2024

ebout contre lui, cela mettrait à

lé diffi

es yeux ? Le lampadaire l'a tellement effacé que je ne pouvais pas le dire, même avec ma vision perçante. Sombre. Brun très foncé, peut-être ? «Je sais à quoi je ressemble. Si je mentais, ne dirais-je pas q

ême le contour d'un permis de conduire aura

dix-sept ans au plus.

is aimé l'être. Je pourrais facturer plus. Il leva le menton, un geste courageux et déchirant pour quelqu'un comme lui face à qu

ysiquement fragile, mais il n'était pas un jeu d'enfant, et il n

des cent dernières années, une règle que je n'avais enfreinte qu'une seule fois, au début – et que je regrettais de ne pas avoir respectée peu de temps après. Je n'ai pas baisé là o

e de cette ligne. S'il y avai

compatibilité. Je vou

baiser n'était pas prévu. Ainsi soit

r l'affaire. "Pas de pipes, pas de putain. J'ai faim." Je laissai mes den

na-t-il alors que ses bras s'agitaient. «Euh, d'accord, écoute, j

ée, devenant de plus

appartenant à des vampires, il n'était pas rare d'étab

s, c'était oui pour toujours. Je n'en faisais pas partie, et je n'allais pas le forcer, mais... je devais avoir lui . La peur ne faisait que faire b

à quelqu'un qui l'avait gravement blessé. « Je ne suis pas un nouveau vam

ps raidi par la tension, et se mordit l

u'en bas, mon propre corps se resserrant. Putain. Putain, putain, putain, mais je voula

seconde pour réaliser qu'il venait de moi – un grognement profond, presq

ssé et a essay

ans le lampadaire... et se

sa lèvre inférieure, et son parfum emplit l

n instant plus tard, ma poitrine contre la sienne et une cuisse p

ir, ni sentir, ni sentir autre chose que cette petite goutte de sang. Je me suis penché, ses respirations haletan

'éleva, paniquée et aiguë. La gouttelette brillait sous l'éclat du réverbère comme un joyau. "S'il te p

en vie à la fin. Cela m'a sorti de la soif de sang. Putain. Je

ron. Ils étaient bleus. La nuance de bleu la plus sombre et la plus riche de ce côté des profondeurs de l

ossible malgré la tension dans ma gorge. Le son

mme un baiser si cela vous fait vous

ndue. Le sang coulait toujours, cette goutte pendait au bord de sa douce co

n putain de

sinon j'allais vib

-il en appuyant sa têt

. C'était la chose la plus douce que j'aie jamais touchée. Lentement, parce que mon cœur battait si vite que je tremblais

beaucoup plus petit. Aucun passant n'avait besoin

juste p

e toucher et que je sentis la chaleur de so

roses et des oranges, le contact d'un amoureux après des mo

aisant ressortir davantage de lui. Il gémit, ses hanches se co

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