Loup-garou enragé au cœur tendre
it dû êtr
ns, apparemment convaincu que je tomberais, que je me cognerais la tête et
ir du lit et de traverser la pièce une fois la porte fermée sous son fronceme
barbe, tout en devenant rouge comme une tomate, que c'était lui qui s'occupait de mes besoins corporels pendant que j'étais au lit, et que je ne devrais pas être gêné. Alors bien sûr, il prenait soin de moi comme un croisement entre une infirmière et une mèr
à me recentrer, à récupérer un peu de ce que cela devait
e je m'en
s facile, j'ai osé lever la têt
lés, la forme de mon visage. Mais je ne m'étais pas regardé dans un miroir depuis si longtemps que voir tout ce
nds arqués sur d'énormes yeux marrons larges qui semblaient s'êt
isage. La seule chose qui me manquait était une barbe en bataille. J'avais un vague souvenir des sorciers faisan
es gr
as vra
té coupé encore et encore. Une étrange marque arrondie à la jonction de mon
. Peut-être que cela était antérieur aux expériences, puisque je me souvenais de la majeure partie de mon séjour en prison, du mo
rd, et j'en avais plus qu'assez aussi. J'avais une vraie salle de bain civilisée dont je pouvais p
çon dont ils m'étaient accrochés, sont allés dans le panier sous une série d'étagères c
que tout a
'idée que je ne ressentais plus la douleur. Bizarre, effr
vous pouviez vous adapter lorsque votre
vais pas franchi l'étape logique suivante et com
une vessie trop pleine ? Ce n'est pas venu. Je savais que ça devrait le faire. Je pouvais m'e
t, c'était c
lâchée. Mais ça ne f
ma bite molle
n plus. Après quelques instants de traction de plus en plus forte, désespérée que quelque ch
s pu le ressentir s
que j'avais apprécié avant la prison, car je ne m'y étais jamais branlé. Je n'avais jamais eu de libido du tout. Peut-être parce qu'ils m'avai
du
carrelage me faisant claquer les dents. Je ne pouvais pas sentir ce qui devait être une grave ecchymose. J'ai mis mes mains sur
r de moi, aussi solides et chauds qu
t scintillante, je me suis penchée vers eux, je me suis penc