Le prince du sang
cente. Mesquine, jalouse, insupportable, tous les défauts de la première jeunesse coulaient dans mes veines. Si égoï
iciel avant lui. Si dérisoire et pourquoi ne pas le r
ment, ce ne fut pas le cas, j'ai décidé de les laisser seule et sortie me promener un peu pour réfléchir. Elle paraissait si heureuse, que cela m'a conduit à me demander constamment ce que c'était réellement ! Cet amour dont le monde parle et réclame malgré toute la
ement. C'était un jeudi, il était déjà 20 heure passé, et la soirée était douce. Il avait l'air si fatigué, si résigné avec son manteau gris, sa moustache pendant lamentablem
tendres et des larmes vide de sen, alors qu'avant ma naissance, elle aimait seulement passer beaucoup de temps chez cette amie avant que cette dernière ne déménage sur la côte en raison du travail de son mari. Et quand le couple venait nous rendre visite, ce
les deux à la maison, seules,
ur être honnête, ma peine était sans fondement, car je ne savais pas exactement ce qu'était la mort. Cela faisait si mal que ça, de per
Mam
insoutenable que j'entendis ses pas, les pas d'une femme merveilleuse, les pas d'une femme qui a élevé
ir. Elle entra, souriante, avec des paquets dans les mains, obligatoirement, et je devinai aussi
s briser le cœur de cette femme incroyable que nous croyons fortement ne mériter au
savons
causé plus d'amertu
es chéries, ça va
armes étaient invisibles, mais elles
s déjà attendu
sentant déjà un m
! Pas
dier vient
e verser un grand verre d'eau et le but d'un trait. Elle ne pleura pas, elle en étai
ee-shirt, mais mes yeux de fille ne m'auraient jamais trahi. Je la voyai
angés. J'étais encore une enfant malgré mon âge, donc il m'était impossible de me mêler aux autres. Je n'ai rien fait, rien que rester dans mon coin, à observer le rite. Tout cela m'import
qui a quitté notre monde, tout ce tableau gris et obscur que je ne voyais qu'à travers un rideau transparent d'ignorance. Ma sœur était restée a
était tro
ette saleté noire, qui rongeait petit à petit son cœur, était si évi
is elle me sortit de la maison. Pour me libérer l'esprit, je regardai autour
ait à la liberté. Ce vent doux et capricieux, apaisait le cœur. Tout était vivant, et authentique, même l'esprit des gens. Ils étaient tous paysans, fermiers, ou artisans.
. Mais en ces temps-là, je me voyais déjà différente. Si on pouvait réellement d
-deux kilomètres de route n'étaient pas le problème, rien n'avait changé, rien sauf moi. J'ai perdu mon innocence. Je me suis secoué
t que tout soit terminé
le baiser de mère su
une fois. Mais en cet instant, j'étais trop vidée pour en atteindre la beauté, et dont je
voir cette caverne remplie de tristesse, no
rps froid, pas une seule fois, je n'ai assumé ma responsabilité de parent, je n'ai pris que l'excuse d'être
tout, à croire qu'il existe un être
e vie partie, et les saisons, belles et si émouvantes, mais qui signifiaient encore un sonnet montrant l'écoulem
cupérer. La seule qui compte à présent, c'était de profiter de la vie autant qu'on me permettra de le faire. Pe
'ennuyeux, de merveilleux. Son cœur a balancé entre sa vie présente et sa vie future, mais n'aurait-ce pas été une plus grande lâcheté que de refuser ce grand bonh
e, j'ai refusé toutes les occasions de découvrir l'amour, autant physique qu'émotionnel, simplement parce que je ne ressentais rien. Je vivais en maison