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Les histoires les plus courtes

Chapitre 2 Le premier à partir

Nombre de mots : 3276    |    Mis à jour : 24/05/2021

equel se trouvait le garçon au ventre lacéré de griffures contaminées. Quand tout le monde fus réveillé, je leur expliquai les bases : se servir d'une arme, reconnaître un contaminé, utiliser une boussole. Je m'amusais de voir leurs

été griffé par des fondus. Il progressait lentement, sa respiration était hachée et de grosses gouttes de sueur coulaient de son front. À de nombreuses reprises il dû reprendre son souffle. Malheureusement

e paysage, j'arrivai à percevoir l'ironie du sort qui avait frappée notre planète, l'Homme mené à sa propre perte, et pourtant toujours relevant l'impossible pour sa propre survie. Oh bien sûr, to

dé de sable et rongé par le temps. Pour moi c'était un paysage habituel, mais les autres semblèrent tous surpris par cette vue. Et plutôt que trouver ça étonnant, cette f

omme si elle trouvait ça normal, enfin pas normal, plutôt on

qui illustre l'extinction d

n regard froid, et d'autres des regards surpris. Ap

ne. Moi je suis contente de le voir, tout le monde n'a pas eu cette chanc

ent puis l'un des garçons, aux

n'es attach

avait quand même Pringles. Et plus le temps passait plus je me

e je menais avant. Mais à part lui, non j'ai décidé de ne plus m'attach

mmen

). Avais-je vraiment envie de ne rien dire, de ne rien laisser derrière moi. Cependant, leur raconter tout c'était me confier, et se confier c'es

t je parle pas, rép

a à plat ventre, manquant de dévaler toute la dune. Tout le monde se précipita sur lui. Le garçon baraqué à la peau sombre, Frypan, le retourna sur le dos. Winston respirait rapidement, sa poitrine se soulevant aussi vite que celle d'un animal à l'agonie. Des veines emplies d

l a ?, questionn

elevai la tête. Si vous voulez l

allongèrent Winston, dont le souffle commençait à reprendre un rythme normal. Notre progression fut nettement ralentie. À la fin de la journée, nou

ntre un des murs et commençai à remonter ma manche. Je sortis une trousse de soin de mon sac et défis le bandage. Je fus étonnée de voire que la Braise (oui, c'était le nom du virus) ne s'était pas étendue vers ma tête mais plutôt vers ma main. La plaie noire a

rsure) d'un bandage d'une blancheur éclatante en comparaison des veines som

oujours et Stan. Pringles agitait joyeusement la queue avant de courir après le bâton que ces derniers lui jetaient. Je me demandai ce que deviendrait mon fidèle acolyte quand je serai transformée. Sûrement le

r mes oreilles. J'avais toujours trouvé étonnant de voir avec quel facilité la musique réussissait à rendre le plus terrifiant des paysages, paisible. Dans les oreilles, j'écoutais Stand by me. Cette musique, c'était

s aimé rester seule, je me demandais d'où venait son obstination à me parler. Il était sympa, le problème était justement là : je ne voulais pas faire confiance, et je ne voulais pas m'attacher. Quand

e tu écoutes ?

'enlevai le casque de mes épaules, pris soin de baisser un peu le son puis je le lui mis. Il me laissa faire, sans détacher son regard de moi. Nos visages étaient tout proches et mon cœur se mit à s'accélérer. Auss

ênant mais étonnement en fait ce ne le fut pas. Puis la musique fut terminée et il y eut un long si

n, me dit-il

ontre le mur. Il fit la même chose et nous restâ

ffacé la mémoi

al de choses. Et maintenant je me sentais cou

et je l'étais vraiment. E

t le monde

nviais. Ils n'avaient plus à se soucier de ceux qu'ils avaient perdus, ils ne cauchemardaient pas de tout ce qu'i

faire, il entremêla ses doigts autour des miens mais ne dis rien de plus. Au bout de plusieurs minutes sans rien dire, les joues brûlantes, je retirai ma main, g

préparer les sacs sous l'abri et je relaçais mes baskets noires. À peine le coup eut-il retentit que tout le monde se précipita vers l'abri (là où le coup de feu avait été tiré). Quand j'arrivai à mon

i s'est passé

flingue et il a essayé de se t

déjà vu. Et je le comprenais. Quand ma transformation viendrait je ne co

it-il en relevan

ir broyée qu'à quelque chose d'humain. Du sang noir avait séché un peu partout et continuait de couler en certain endroit. Du pus suintait également des plaies. Des veines emplies d'un sang noir partaie

un monstre, disait-il,

let. Il le prit avec des mains hésitantes avant

perdre un pi

stre. Je pris mon sac sur le côté et en sort

oi ?, dema

ut de l'épidémie pour ceux qui ne voulaient pas

is c'est Winston qui accepta. Après tou

nie ! Une pour lui, une pour moi. Apparemment c'était comme ç

s le faire, je vo

adressèrent tous un au revoir à Winst

r mon âme ?, m

e suite, d'abord je ficha

oyant ?, d

il devait avoir si ma

rien, me r

ença à ralentir

is pour ton

vec une force surprenante, si fort qu

chance,

n lâcha la mienne. Je pris son pouls mais son cœur ne battait plus. Puis une larme roula sur ma joue. Je ne pleurais pas pour

is hésité à me planter la seconde seringue dans le bras. Ça paraissait si simple. Puis j'ai pensé à Pringles, et enfin, sans vraiment que je l'explique, au reste du groupe. Au lieu de ça j'avais glissé la seringue (qui n'étais pas très grande) dans ma poche. J

avais rien dit. Ce n'était pas la première personne qui mourrait sous mes yeux, et pas la plus proche. La journée était passée étonnement vite, peut-être parce que, c'était cruel de le dire, Winston ne nous ralentissait plus. Les montagnes s'étaient bien rapprochées et j'avais bon espoir de conduire le groupe assez loin pour qu'ils n'aient plus b

t pas. Mais le fait que j'ai l'impression qu'elle soit parfaitement au courant de la situation alors qu'elle prétendait avoir perdu la mémoire continuait à me faire douter d'elle. Elle me jetait des regards froids,

je commençais à perdre du tonus dans ma main, ce qui n'était pas bon signe car j'étais droitière. Vers minuit, quand le ciel grondait et que tout le monde dormait (malgré que j'ai insisté pour qu'il y ait toujours quelqu'un d'éveillé), je me relevai et m'assis. Puis je remontai mes jambes et

rappa à moins de cinq mètres. Tout le monde se mit en mouvement. Je passai mes mains dans les manches de la veste de Stan puis pris mon sac. Il ne fallut pas plus de dix

une dizaine de mètres du bâtiment quand un éclair frappa Minho de quelques centimètres. Comme je courrais près de lui je fus projetée par l'explosion. En retombant, mon oreille émit un bruit aigu.

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