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Les histoires les plus courtes

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Chapitre 1 La morsure

Nombre de mots : 2833    |    Mis à jour : 24/05/2021

ues de sables. Pringles avait posé sa tête sur mes genoux et contemplait avec moi le paysage désertique, les villes en ruines englouties sous des marées de sable. Puis il eut un bruit qui provenait du vieux supermarché, un cri q

ours !, cri

egarda dans la direction du supermarché. Puis il se reto

squer notre peau là

Je passai ma main dans son pelage pour le rassurer mais il

cria une n

ché avant de me jeter un nouveau regard de supplication. Je secouai négativement la tête mais ce dernier

s !, lui

sa suite, mes pas m'enfonçaient dans le sable chaud, mais je réussis malgré tout à atteindre le

ais cette fois-ci je ne pus pas distinguer les paroles qui étaient lancées. Je débouchai au premier étage du centre commercial, qui donnait une vue d'ensemble sur la grande entrée, les escalators, et comme tous les couloirs s'y rejoignaient, j'avais de bonnes chances de voir Pringles déboucher. De plus, l'endroit était idéal pour couvrir quelqu'un. Il y eut de nouveaux cris, plus forts, des

ille, puis un second qui montait déjà les escalators, puis un troisième, mais à peine les avais-je abattu qu'il se relevait, encore plus furieux. Ils

uait une partie du nez. Il me maintenait au sol. Malgré mes efforts pour le tenir à distance, sa mâchoire claquait à quelques centimètres de moi. Je tentai d'atteindre mon pistolet dans

it à terre juste à côté. Je posai (malgré mon dégoût) ma main gauche sur la gorge du fondu pour le tenir à distance, et de l'autre je tentai d'attraper le fusi

allais être engloutie. Je tentai de me décaler vers mon fusil, mais sans résultat. Puis en un éclair de seconde, le fondu fit rouler ses yeux dans ses or

au passage la barrière de verre et tomba d'un étage. Je jetai un regard et vis un garçon aux cheveux bruns bouclés, vêtu d'un tee-shirt noir et d'un jean sombre, qui me tendit sa main pour me relever. Je la pris, me relevai et saisis le fusil qui était par

pour courir. Nous débouchions sur une lourde porte rouge fermée par une chaîne. Il n'y avait pas d'autres issues, c'était la porte ou bien les fondus qui s'étaient déjà engouffrés dans le couloir. Pendant qu'un garçon à la carrure imposante,

nière balle et traversai la porte. Cependant le garçon à qui j'avais passé le pistolet eut moins de chance, lorsqu'il franchit la porte, des mains surgirent alors qu'il tentait de refermer la lourde issue avec l'aide d'autres garçons. En moins de temp

ent. Je me plaquai contre la porte, comme ce garçon qui avait envoyé valser le fondu sur moi. Les autres hésitaient à partir en courant ou à rester pour maintenir la porte. Je la sentais trembler sou

chien, leu

à Pringles, qui partit en courant. Les autres se mirent à courir à

ut à trois, m

, di

renché

ROI

ntendais les cris et les claquements des pas des fondus sur le sol. Je jetai un regard en arrière, la vitess

me lança le garçon qu

passai une main entre ses oreilles. Il n'y avait qu'une fille dans leur groupe, aux cheveux presque noir. Il y avait six garçons, l'un pas très grand, aux cheveux très sombres également, un autre qui devait faire deux tête de plus que moi, à la peau mâte et bâti comme une armoire à glace, ce garçon au

t pour allumer la lumi

ridés, plutôt grand et athlétique. Il sembla

toi ?, m'a-

dre, C'est pas tout les jours qu'on voit huit personnes qui ré

s des survivants mais des petits protégés qui se sont aventurés sur la Terre Brûlée sans aucunes notions de ce qui les attendai

oit tes affaires, lança

e connaître. C'est exactement ce que je ressentis quand elle me lança cette réplique cinglante. Malgré tout, je décidai d'ignorer sa répon

s qui pourraient peut-être faire quelque chose pour lui mais d'ab

ouveau la tête vers moi. À voir leur tête j'aurais dit qu'ils semblaient étonnés, étonnés que le

garçon aux cheveux bouclés,

vous veut ?, deman

nsé être to

, peut-être pouvaient-ils fournir un remède ? Après tout, c'était leur fa

s mise en face d'eux, et étais occupée à observer la morsure à mon biceps. Les traces de dents rougies avaient laissé place à des plaies noires, infectées par le virus. Je déchirai le coin d'un tee-shirt dans mon sac et le nouai au dessus de la morsure (qui heureusement semblait se répan

n finir par arr

sur mon bras. Je relevai la tête, et vis que le garçon aux cheveux bouclés, qui s'app

qu'ils utilisaient pour localiser ceux qu'ils avaient marqué comme « Propriété de WCKD ». Stan l'ignorait sûrement, ces trucs là

demanda-t-il en faisant un

t un peu comme mon meille

oujours prêt à aider cependant il voyait souvent les gens comme des menaces (il y avait toujours un risq

n aperçu je rabattu ma manche sur la plaie, je ne voulais pas de pitié. J'aurais dû

da-t-il, je lui jeta un regar

mon manque de contact humain devenait vraiment pesant. Trois ans sans

ls n'ont pas voulu de moi alors je suis partie dans les endroits désertiques, là où il n'y avait presque personne. J'ai veillé sur Pringles comme mon pet

se. Je levai mes yeux sur lui, sans rien dire. Il me rendit mon regard, et j'eus le temps de remarquer que ces yeux étaient du même brun que ses cheveux, qu'il

nction de l'espèce humaine. Je décidai de faire le chemin avec eux, mais pas d'espoir, pas de confiance et pas d'attachements. C'ét

n'était pas là, ma morsure non plus. Je remarquai néanmoins une légère douleur dans ma nuque, comme une brûlure ou une irritation. Je remontai ma main et la passai sur

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